La liberté et le patriote (1954-06-19)

La Frais est le pays qui fournit

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TIBERTÉ «PA

WINNIPEG, SAMEDI 19 JUIN 1954

L'épiscopat français réaffirme la
nécessité des écoles catholiques

Mise en garde contre la vente
et l'achat de ‘camelote pieuse”

MONTREAL -- L'Associa-
tion des marchands d'articles
religieux, dont le secrétariat
général se trouve ici, accorde
son entier appui à l'effort vi-
sant à mettre fin à la vente
de ce qu'elle appelle de la
“camelote pieuse”.

Dans une récente lettre pas-

encouragent la superstition. Son
Excellence fait entrer dans cette
catégorie des “croix lumineuses
des images de saints dont le re-
£ard vous suit, de l'eau d’une fon-
taine bénite”, etc, I] qualifie ces
articles de “camelote’” qui sert de
prétexte à certains marchands
peu scrupuleux pour s'enrichir
aux dépens des fidèles.

Toronto n'a pas
besoin du français

TORONTO — M. C, C. Gold-

| ring, directeur de l'Instruction pu-

torale, S. E. le cardinal P.-E,
Léger, archevêque de Montréal,
a rappelé aux fideles que toute
personne, laïque ou membre du |
clergé, qui imprime, vend, achète
ou distribue des dépliants, des
circulaires et des brochures con-

tenant des prières est sujette à |
la censure ecclésiastique à moins |
qu'un imprimatur officiel

1

été accordé pour la mise en cir-|
culation de ces objets.
Le cardinal archevêque de}

Montréal souligne de plus qu'il est
défendu d'acheter ou de vendre
des ‘objets de piété ayant une

prétendue puissance magique, tels |

que certains chapelets, certaines
médailles auxquels à été ajou-
tée telle ou telle substance”.

La foi et le manque de foi

“Les catholiques, de dire Son
Eminence, récitent le rosaire et
portent des médailles sur eux

pour honorer Dieu, la sainte Vier-
ge et les saints. Ils n'attribuent
aucun pouvoir magique à ces ob-
jets. La foi leur fait voir en ces
objets un moyen de se tourner
vers Dieu mais au contraire,
c'est un manque de foi qui porte
à inspirer une confiance supers-
titieuse en certains articles reli-
gieux.”

L'Association des marchands
d'articles religieux déclare que
ses membres donnent leur entier
appui aux autorités religieuses
ui s'élevent “contre les Indivi-
dut qui offrent en vente leur ‘ca-
melote pieuse’ et qui sont, pour
la plupart, des colporteurs anony-
mes’. Et l'association fait remar-
ver que les marchands d'articles
de ce genre ‘dirigent rarement
une maison de commerce: ils ne
peuvent être atteints que par
courrier, par l'entremise d'un ca-

sier postal”

De son S. Exc. Mgr R,
Cushing, de Boston,
au cours d'une causerie à ja ra-
dio, a mis ses
contre ‘cette marchandise pieuse
sans valeur colportée de façon
si étendue de nos jours’. De tels
abus, dit-il, déprécient ja foi et

côté,
archevèque

fidèles en garde |

| les

blique pour Toronto, a exprimé

l'avis qu'il est “possible mais non |

recommandable d'enseigner le
| français” dans les écoles publi-

n'ait! ques de la Ville Reine.

Le comité directeur de l'Ins-
truction a déposé le rapport de
M. Goildring sur le sujet, On re-
jette la suggestion formulée par
Mme Edna Ryerson, qui

demandé ja publication du rap-|

port à la suite d'un sondage sur
la nécessité de cours de français

Dans son rapport,
convient qu'il est désirable que |
les enfants de langue anglaise
apprennent la conversation fran- |

çcaise en bas âge, Mais il énumère |

les désavantages suivants à l'en-
seignement du français:

1) Toronto est essentiellement |
une ville de langue anglaise et
les élèves entendent ou parlent
rarement le français au cours de
leur vie.

2) Lorsqu'on ne se sert pas sou- |
vent d'une langue, sa connaissan-
ce se perd.

3) L'expérience de l'enseigne-
ment du français,
Unis, en vue “d'enrichir les étu-
des régulières”, ENS que
cette matiète n'aide pas l'élève
d'une façon marquée dans les éco-
secondaires,

4) 11 faut employer des institu-

teurs spéciaux.

5) Le temps consacré à cet en-
seignement est pris au détriment
des autres matières scolaires pour
lesquelles le temps alloué est déjà |
trop court et empêche ainsi les
instituteurs d'accomplir tout leur
programme

Mme Ryerson a opiné qu'on ne |

peut poser comme objection le
fait que Toronto est une ville de
langue anglaise.

pays et les élèves devraient pou-
voir jouir d'un horizon culturel
plus large, a-t-elle souligné.

Re,

“ait

Mere Marie-Alicia,
est sans doute

origine belgt

à Rosean
_. ia rei

Popul ait

alite, soit
on

Caisse

voit

re 4 L:

missionnaire
la seule religieuse au monde qui soit
Caisse Populaire et qui dirige le mouvement des Cais-

IgI1eUSE

Pi: 9

chanoinesse de St-Augustin,

de l'ile de
compagnie

la Dominique,
d'un de ses

capitale
en

NC)

avait |

M Goldring |

faite aux Etats- |

Le français est |
la deuxième langue officielle du

PARIS — A l'issue de son
assemblée générale tenue du
26 au 27 avril à Paris, l’épis-
9! Pat français a publié une
importante déclaration sur la|
question de l’enseignement.

Dans ce document, les évé-
ques regrettent et condam-
nent toutes les idées qui im-
pliqueraient un désaveu ou un

relächement de la doctrine cons-
tante de l'Eglise à l'égard de l'é-
cole chrétienne. Ils adoptent un

plan prévoyant: le regroupement

des écoles; ia préparation des mai-
tres: un statui général des en-
seignants 1alcs
Nécessité absolue
des écoles catholiques

Voici le résumé de la déclara-
tion épiscopale, tel qu'il a été re-
mis à la presse

1) L'Assemblée de l'Episcopat |

termes formels de la déclaration
faite par la précédente assemblée
(5 avril 1951): “I] n'y a pour un
chrétien d'école pleinement sa-
tisfaisante que l'école chrétienne.

devoir yue fait l'Eglise aux |

| parents cathniiques de lui confier
leurs enfants apparaît ainsi dans
| la logique même de la foi”, sous
réserve de: cas prévus par le
| droit,

| Elle regrette et condamne tou-

| désaveu ou un relâchement de la

| doctrine constante de l'Eglise, à |

français rappelle et maintient les | -

tes les idées qui impliqueraient un |

l'égard de l'école chrétienne, de
quelque milieu qu'elles viennent,
et renouvelle son hommage aux
parents et aux maîtres, prêtres,
religieux ou laïcs, qui, selon les
paroles du Souverain Pontife Pie
XIL “prodiguent avec désintéres-
pero leurs efforts et leurs sa-
rifices pour soutenir et promou-
v vo r l'école expressément catho-
lique”’ (allocution du 26 mars
1951

Organisation future
des écoles catholiques

2) Heureuse des résultats déjà
obtenus depuis la dernière assem-
blée par le Comité national et ses
commissions, elle adopte le plan
proposé par le rapporteur ur
donner à l’enseignement chrétien
une organisation nationale.

3) Elle décide de réaliser au
plus tôt l'exécution de ce plan,
qu'il s'agisse du regroupement
des écoles et des services, de la
préparation des maîtres ou d'un
statut général du personnel laïc.

Le concours de français

Les résultats du concours
de français de l'Association
d'Education des Canadiens

français du Manitoba parai-
tront dans notre édition du
26 juin. On est prié de réser-
ver immédiatement les copies
supplémentaires désirées.

OTTAWA — Le caractère
| bilingue de la capitale fédé-
rale sera consacré par un
|émetteur de télévision d’ex-
pression française.

| À la satisiaction des élé-|
ments des deux langues offi-|
| cielles au Canada, le ministre |

du Revenu national, l’hon. J.|
J. McCann, a annoncé à la
Chambre des communes la
décision qu'a prise le gouverne-
ment de doter la capitale d'un!
second émetteur qui relaiera les|
émissions françaises diffusées de
Montréal,

Précisons tout de suite qu'il ne|
s'agit pas de l’éinission d’un per- |
mis à un poste privé qui sera
installé à Hull, comme la deman-
de en avait été faite, mais d'’un|
second émetteur de la Société
| Radio-Canada, à Ottawa même,
| relayant les programmes fran-|
çais du poste CBFT de la même
société, à Montréal, |

De cette façon, selon le Dr Mc-
| Cann, la poïitique du gouverne.
ment qui consiste à ne pas per-
| mettre l'érection d'un poste pri-
| vé de télévision dans une région
déjà desservie par Radio-Canada
tant que la TV ne sera pas éten-
| due à toutes les régions du pays,
| reste inchangée,

|

Campagne d'opinion

C'est simplement la reconnais-

| sance du caractère bilingue de la
| région d'Ottawa-Hull et l’accep-
tation de la nécessité de fournir
| dans cette région des program-
mes de télévision dans les deux
| langues. Comme à Montréal, un

| émetteur supplémentaire sera 1ns-
tallé dans les studios actuellement

en construction à Ottawa, utili-
sant un second canal ou bande
d'émission pour rrlayer les pro-

rammes français de la métropo- |
7 et laissant le canal actuel de
CBOT entièrement libre de dif-
fuser en anglais

Cette décision est aussi, de l’a-
veu même du munistre, le résultat
d'une vigoureuse campagne d'o-
pinion publique et, en particulier

de
tés

l'intervention de trois dépu- |
canadiens-français de la ré-
gion, MM. J.-Thomas Richard,
d'Otiawa-est, Omer Gour, de
tussel, et Alexis Caron, de ‘Hull

| Campagne en

| Cas,

Le caractère bilingue
de la capitale reconnu

Cette campagne, qui a déjà eu
des échos dans la Presse, avait
l'appui de tous les éléments de
la population de la région. Eile
était fondée sur le m De À
gent peirel Car, ee A qu'on 1

jà expliqué ici, l'uni te
de télévision d'Ottawa, CBOT, ui

n'est qu'un poste de relai utili-
Su un transmetteur temporai-
re, s'efforçait d'être bilingue en

| consacrant environ le tiers de son

horaire à retransmettre les pro-
grammes français venant de Mont-

| réal et le reste, aux programmes

anglais émanant de Toronto.

Cela ne satisfaisait personne,
tout le monde trouvant qu'il y a-
vait trop d'une langue et pas as-
sez de l’autre et chacun se sen-
tant lésé parce que ce passage
d'une langue à l’autre faisait man-
quer

C'est pourquoi même les gens
de langue anglaise appuyaient la
faveur d'un poste
français même si, dans bien des
c'était moins pour permettre
la diffusion de programmes d’'ex-
pression française que pour libé-
rer le canal numéro 4 du fran-
çais et obtenir un horaire com-
plet en langue anglaise,

Pas de dépenses

Dans sa brève déciaration, le
ministre du Revenu national n’a
pas hésité à dire que le gouver-

|nement s'était rendu aux deman-
des de la population et aux ar-|
trois |

guments invoqués par les
députés canadiens-français de la
region,

Il n'a pas caché que, dès l’an
dernier, la Société Radio-Cana-
da avait recommandé au gouver-
nement d'instituer à Ottawa un
régime analogue à celui de Mont-
réal, Mais on avait hésité, croyant
qu'il faudrait demander

plémentaires de l'ordre de $500,-

000
On
compte
tai
studios actuellement en construc- |
tion, sans octroyer de crédits sup-
plémentaires à Radio-Canada et
que cela permettrait de relayer
dans la région les programmes
français de Montréal sans modi-
fier la politique qui consiste à
ne pas accorder de permis de |

(Suite à la deuxième page) |

maintenant rendu

serait possible d’ins-

s'est
qu'il

à beaucoup de gens leurs|
| programmes favoris.

_pour ce-|
la au Parlement des crédits sup- |

|
(|
|
ler un second émetteur dans les |
(l
|

Prenant part à la. première d'une série d'essais de

8 pays européens durant les mois

de juin et juillet, S. 8.

AU COMPTANT

rojection pour télévision, échangés entre
e XII apparaît ici devant les appareils de

téléphotographie au Vatican. À cette occasion, il donna sa bénédiction apostolique en 5 langues dif-

férentes et prononça une courte

allocution. (NC)

Appel du Très Saint;
Père aux protestants

VATICAN — Le pape a
lancé un appel aux protes-
tants de l'Europe, les invitant
à revenir au sein de l'Eglise
catholique romaine.

Dans une encyclique de
6,000 mots, le Souverain Pon-
tife a déclaré: “C'est notre
fervent désir et nous deman-
{ons en suppliant le Dispen-

ravur des dons divins que

soit “finalement réalisé l'ardent
ésir de tous les hommes de bon-
ne volonté: que tous soient unis,
et qu'il n'y ait plus qu'un seul
troupeau et un seul Pasteur”,

Le Pape a adressé son encycli-
que à tous les archevêques et évé-
ques de Grande-Bretagne, d'Al-
lemagne, d'Autriche, de France,
de Belgique et de Hollande.

Il a rédigé cette encyclique à
l'occasion du 1200ème anniversai-
re du martyre de saint Boniface,
moine bénédictin ie PC € con-
nu comme l'apôtre de l’Allema-
gne. Saint Boniface fut marty-
risé en Frise avec 52 compagnons
par des gens qu'il était allé con-
vertir.

Il a organisé la hiérarchie ca-
tholique en Aliemagne.

Le Pape saint Zacharie le nom-
ma primat de l'Allemagne et dé-
légué apostolique des Gaules.

|

ueément de saint Boniface
au siège apostolique

Dans l'encyclique “Ecclesiae
fastos” qu'il a adressée à l'épis-
copat de Grande-Bretagne, d'Al-
lemagne, d'Autriche, de France,
de Belgique et de Hollande à l'oc-
casion du 12ème centenaire du
martyre de saint Boniface, le Pa-
pe évoque tout d’abord l’ äpostolat
de ce saint dans les pays de l'Eu-
rope occidentale, Dans la deuxiè-
me partie du document, le Sou-
verain Pontife fait ressortir la
charité ardente, la confiance illi-
mitée du saint dans la grâce di-
vine et surtout sa fidélité et son
amour pour la chairé* de saint
Pierre, Pie XII déclare que ce

Dévo

Un Jésuite a eu les mains
liées pendant 5 mois

HONG KONG — Le R. P. Eu-
gène Lauzon, S.J., missionnaire
canadien de la Compagnie de Jé-
sus, est resté cinq mois les mains
attachées, dans une prison de Chi-
ne, Pour manger, il lui fallait
aller chercher le pain sur la ta-
ble avec sa bouche et un autre
prisonnier se chargeait de lui don-
ner à boire de temps en temps.
| Au cours de son emprisonne-
| ment, le R. P. Lauzon a été té-
moin du fusillement de plusieurs
| prisonniers, car le samedi, on sor-
| tait les détenus des cellules afin
qu'ils assistent aux exécutions,

NEW-YORK — L'Eglise ca-
tholique aux Etats-Unis}
compte maintenant 31,648,424
membres, soit une augmenta-
tion de 1,223,409 survenue
l’an dernier. Ces chiffres, qui
englobent la statistique affé-
rente à Hawaï et à l'Alaska,
ont paru dans l'Official Ca-

tholic Directory de 1954.

Le nouveau total représente un
gain décennal de 8,228,723 au re-
gard des 23,419,701 catholiques
signalés en 1944, dont 1,097,771
convertis à l'Eglise,

Le nouvel annuaire révèle que
le nombre des étudiants réguliers,

dans les écoles catholiques, a en-
registré une augmentation de
180,000; l'effectif des instituteurs

laïques s’est accru de 14 p. 100.

Six archidiocèses ont une po-
pulation catholique dépassant le 21,239 instituteurs laïques. lenregisiré 1,097,771 conversions. | constants et dévoi le

L'Eglise catholique aux

pr à date 31,648,424 membres

FAHIQRE Chicago, 1,815,976; Bos-
{ton, 1,426,319; New-York, 1,361, -
170; Philadelphie, 1,250, 469: Ne-
wark, 1,123,607, et Detroit, 1,-
075,000. Brooklyn demeure le dio-
cèse le plus considérable, car on
y trouve 1,443,848 catholiques.

Membres de la hiérarchie

L'annuaire renferme la liste de
199 membres de la hiérarchie;
mais ces chiffres valaient pour
le ler janvier 1954: à l'heure ac-
tuelle, le nombre des cardinaux,
D fus et évêques s'établit

202.

Une augmentation de 229 dans
le nombre des membres du clergé
porte à 45,451 le total des pré-
tres; on compte 28,611 prêtres sé-
culiers et 16,840 prêtres réguliers.

Les religieux profès autres que
les prêtres comprennent 8,691 |
frères et 154,055 religieuses.

Le personnel enseignant catho-
lique se compose, ainsi qu'il suit:

7,886 prêtres, ‘3,848 freres, 651!
scolestiques, 89,391 religieuses et |
21,239 instituteurs laïques.

| sionnaires

IL EST PLUS FACILE DE
PAYER SELON NOTRE PLAN
À Caépir

ROME --- Si l'on considère
les effectifs des prêtres mis-

travaillant dans
les territoires qui dépendent
de la Sacrée Congrégation de
la Propagande, en Afrique, en
Asie, en Amérique et en O-
céanie, exception faite de

l'Europe, de l'Australie et de

| la Nouvelle-Zélande, on a une

indication très intéressante de
l'effort fait par les principales
nations catholiques pour l'aposto-
lat missionnaire.

Le rapport ci-dessous, publié
par l'Agence de nouvelles mis-
sionnaires Fides, a été présenté

lors de la réunion des conseils su-
périeurs des Oeuvres pontificales
missionnaires, tenue à Rome du

| 24 au 28 mai.

Missionnaires prêtres
originaires d'Europe

A la date du 30 juin 1953, il y
avait dans ces territoires de mis-
sion 12,977 missionnaires prêtres
originaires d'Europe, Ils étaient
répartis comme suit: 7,471 en A-
frique, 3,056 en Asie, 1,338 en
Océanie et 1,112 dans les diverses
missions d' Amérique.

Le plus fort chiffre est celui
des missionnaires français, au
nombre de 3,382. Viennent ensui-
te la Belgique avec 2,280, la Hol-
lande 2,137, l'Italie 1,300, l'Irlans
de 1,186, l'Allemagne 784, l'Espa-

ge 751, la Grande-Bretagne 506,
a Suisse 359, En outre, 292 mis-
sionnaires proviennent de 13 au-
tres pays européens.

Le chiffre de 12,977 mission-
naires prêtres serait de beaucoup
supérieur si l'invasion communis-
te des dernières années en Chine
et en Corée n'avait pas chassé du

dévouement au siège apostolique | champ de l' apostolat quelque 3,000

de saint Boniface constitue

ses fils.
Autre grand enseignement

Il souligne ensuite tout parti-
culièrement que la vie de saint
Boniface offre un autre grand en-

demeure éternellement, ainsi que
l’atteste une inscription figurant
au pied de la statue de saint Bo-
niface au monastère de Fulda.
“Douze siècles sont passés, dit-il,
plusieurs migrations de pe les
se sont produites, tant d’é ta 2e)

ments se sont déroulés et tant de

guerres horribles se sont FE
dées, des schismes et des hérésies

ont tenté et tentent de déchirer lieu de

le corps de l'Eglise, des empires
puissants et des dictatures d’hom-
mes qui semblaient n'avoir
de rien se sont écroulés,

Doctrines erronées

“A l'improviste, des doctrines
philosophiques diverses, qui s’ef-
forcent d'atteindre les sommets
du savoir, se succèdent dans les
temps en prenant parfois l'aspect
d'une nouvelle vérité, Mais la pa-
role que Boniface prêcha aux peu-
ples d'Allemagne, de Gaule et de
Frise, étant la parole de Celui
qui reste dans l'éternité, est plei-
ne de vigueur encore de nos jours
et elle est encore la voie, la vérité

(Suite à la deuxième page)

tats-Unis

Les 76 séminaires diocésains a-
britent 15,048 séminaristes; les 379
noviciats et scolasticats des or-
dres et congrégations ont 18,400
étudiants pour le sacerdoce,

La courbe descendante des ins-
criptions dans les collèges et uni-
versités catholiques, observée
pendant trois années de suite, a
été remontée en 1955; à l'heure
actuelle, les inscriptions s'élèvent
| à 210, 920, soit une augmentation
de 116 p. 100 par rapport à il y
a dix ans.

Huit nouvelles institutions por-
tent à 790 le nombre des hôpi-
taux généraux catholiques, où
l'on trouve 123,935 lits. Le nom-
bre des hôpitaux spéciaux atteint
132, soit une augmentation de 13;
les 358 écoles d'infirmières ins-
truisent 32,749 étudiantes.

Pour la huitième année de sui-
te, le nombre de convertis a dé-
| passé 100,000 en 1953, le baptême
| des adultes atteignant le chiffre
| de 116,696. Depuis dix ans, on a
| enregistré 1,097,771 conversions.

seignement: la parole du Seigneur sidérabl

le! prêtres qui s'y dévouaient et qui,
testament spirituel qu'il légua à | aujourd'hui, sont presque tous ex-

pulsés.

En confrontant les chiffres de
1953 avec ceux de 1933, on relè-
ve pour ces vingt années un cer-
tain nombre de différences. Cer-
tains vs ont fait un effort con
le nombre des mission-
naires iflabdeis a plus que triplé
(de 314 à 1,186), la Suisse a plus
que doublé le nombre des siens
(de 159 à 359), de même la Gran-
de-Bretagne (241 à 506), la Hol-
lande (de 941 à 2,137), la Belgi-
que (de 1,108 à 2,280). La France
et L'Ifalie maintiennent à peu près
leurs positions avec un très léger
accroissement (3,382 Français au
3.373 et 1,300 Italiens au
lieu de 1,251). L'Espagne a vu di-
minuer le nombre de ses mission-

PEUT |naires (751 contre 860) à cause

(Suite à la deuxième page)

Le lieutenant
Gallard-Terraube,
française qui
vouement à toute épreuve lors
du siège et de la chute de Dien-
Bien-Phu, en Indochine, vient de
recevoir deux médailles du mi-
nistère de l'Air français, à Paris,
en reconnaissance de ses sacvicès
constants et (CW)

Geneviève de
l'infirmière
manifesta un dé-

dévoués,

900,000 Américains d'origine française demeurent fidèles à leur passé

AUGUSTA, Maine — Près
dun miilion d'Ameéricains
qui, par le coeur, se rattachent
au Quebec, et, par l'allégean-
ce civique, de pendent de
Washington, ont implanté
eurs traditions françaises en
Nouvelle-Angleterre et résis-
tent fermement à toute sug-
gestion de les abandonner.

Kennebec Journal, quoti-
| g a e onside-
1 \ u Le 1
d div
nm Le LL: L = Es Le
e at

Journal d'encourager cette ten-
dance de s'abstenir toujours
de considérer Franco-Améri-
cains comme ‘groupe de minori-
té’ ou comme groupe existant en
dehors de la communauté géné-
rale”, a dit M. Paul S. Plummer,

et

les

directeur de ce journal
Résistance de la majorité
On trouve la même mentalité

au Vermont, au
au Connecticut,

chez plusieurs
Ne: w-Hampshire,

au Rhode-Island et au Massachu-
setts: mais l'immense majorité
des citoyens de la Nouvelle-An-
gleterre se désintéressent de tou-
te la question

indéracinable attachement
i Franco-Américair
langue et sa culture s est
plus en plus puissant dep |
es premiers habitants de la
Beauce ou d'autres régions du
Quebec vinrent s'établir avec

[leurs familles dans les villes de
Lewiston, Augusta, Biddeford et
Waterville, où naissait alors l'in-
dustrie textile sur une gr
échelle.

Des Canadie
ravant par miilhiers,
que année “faire les foins
le nord du Maine, avant que
se produise la “grande migra-
tion” des années 1890-1910. Lis
s'y établirent en permanence
quand les filatures leur offrirent
un embauchage durable. Les
a cette epoque
dans le Quéhec

Quartiers constitues

imm

français,
venai

€

plois,
res

plu

us

les premiers ar-
des villes comme
Albans et Winooski,

nombreux que
rivants, dans
Swanton, St.

sur les bords du lac Champlain. |
les immigrenes |

temps,
-français profitérent de
plus des occasions qui

mesure,

les façons
s. Aussi, purent-ils se
meilleures situa-
New - Hampshire,
nne le Rhode-Island|
le Massachusetts

fédéral

de

dans

de recen-|
Etats-Unis estime à|
nombre des citoyens|
canadienne-françai- |
-Angleterre sur|
nn 8,750,000 âmes
Dans le Maine, |
huit est de cette

Bureau

880,000 e :

a ascendance

sur

ascendance. La proportion est à
peine plus faible dans le Ver-
mont.

350,000 au Mzssachusetts

Le Massachusetts compte Jle|
plus grand nombre de Franco-
Américains, soit 350, 000, mais le|

Les Franco-Américains sont es-
timés du reste de la population. |
Ils acquittent promptement
factures, ce qui est fort agréable
aux vieux Néo-Anglais dont l'a- |
mour de l'argent est une vertu
traditionnelle, La plupart des

| Francos possèdent aussi leur mai-

M.

son.

Le gouverneur Burton
| Cross, du Maine, dit que “les ci-
toyens d'origine canadienne-fran-
çaise sont loyaux, industrieux,

les |

de bonnes moeurs et, par leur
| exemple, nous sont une véritable
| source d'émulation”.

| Les attaches politiques
Dans le Maine à la tradition!
républicaine, les Francos sont sur-

tout démocrates. Ils sont en ma-

| Pour conserver leur identité, les |
Franco-Américains entretiennent
| des contacts fréquents et étroits
entre leurs divers groupes par|
| l'entremise de sociétés telles que |

l'Union St- Jean-Baptiste d'Amé:- |

rique, qui couvre tout le pays et
on le siège social est à Woon-|

socket, R.4.
Ces diverses sociétés veillent
aux intérêts de leurs membres.

Elles patronnent des concerts et
| autres manifestations par les ar-
|tistes français, afin de maintenir

{bien vivant le sens de l'héritage

| français.
| Un quotidien dans le Maine
Les

Franco-Américains du
Maine ont leur journal quotidien
de langue française, le er

| de Lewiston, dont la distribution
| quotidienne atteint 5,000 exem-

à eux. Ils avaient, dans | Maine en abrite le plus fort pour- | jorité républicains dans les cinq|plaires, Le rédacteur en chef en
assimilé le | centage, par rapport à la popula-| autres Etats.
de vivre | tion totale.

| est M. Louis Gagné, maintenant
âgé de 54 ans, et qui vient de Qué-
bec, où il a fait son apprentissage
| de journaliste au Soleil,
L'église de St-Pierre et St-
Paul “dessert la plus grande pa-
roisse de n'importe quelle déno-
| mination religieuse de toute la
Nouvelle-Angleterre, Les parois-
siens sont au nombre de plus de
5,000. Le double clocher élancé
de pierre domine tout un secteur
de Lewiston, Un bon nombre des
prêtres desservant cette église,
comme c'est le cas dans tous les

endroits où les Franco-Améri-
cains sont nombreux, sont des
Canadiens français qui ont com-
mencé leur ministère dans le
Québec. ;
Un collège à eux
Une autre des grandes réussites

des Francos, c'est le collège de
l'Assomption à Worcester, Mass.
Les étudiants franco-américains

y peuvent maintenant obtenir les

diplômes qu'ils devaient autre-
fois venir chercher aux univer-
sités Laval ou de Montréal

D'ordinaire, les Francos vivent
surtout dans un secteur particu-
lier d'une ville. A Augusta, c'est
dans le quartier dit de la Sandy-
Hill (colline sablonneuse), qu'on
les rencontre en plus grand nom-
bre. Ils représentent 30 pour cent
de toute la pop lation d'Augusta.
A Lewiston, le pourcentage est
de 70.

PAGE DEUX

Congrès de médecins
catholiques à Dublin

des
Dr
secrétaire

nationale

# et
|

e

e Belgique
seront presents à ces

DUBLIN Pius de 300 méde- | re, . ma (Suite de la première page) !}
cins de 14 pays doivent assister Les 14 pays qui enverront de _#
25%. 0 nternationai des | rePrésentants sont les Etats-Unis. | poste privé dans une région dejà}
au berme gré ernationa) L e Canada. la Hollande, l'Allema- | de -vie par ad Canada |
éde jues 1 AUTA | gne e Portuga la Belgique e
eu à Dublin, du 30 }j au 4 FA triche, la France, le Mex cs Poste de relai seulement |
et pendar equel « discu- |le Japon, Malte Angleterre, la d Cu t aire ment à ce qu se PL
dura . croblème s ; par! Suisse et l'Argentine ur ait si u privé avait!
ausmentat ‘ ante de la Le Dr J. Gaspar, ancien pro- | un permis à Ottawa ou a|
sovulation dans le monde. La ma-| fesseur à l’Université de Buda- Hu n'y à eat
leure partie des pays catholiques, | pest, qui demeure présentement | Mes originaux de de |
À l'excevtion de l'Espagne, ontien Suede, participera également | ‘a Capilale en largué ‘
accepté de se faire représenter. |à ce congrès, ains! que des Irian Ce ne sera qu < pr — des émis
12 Dr Luisi Gedda, patholo-| dais des groupements catholiques | sions émana e ) *ontre ai, tout
ste Ur raité de Home et| missionnaires en Chine et en Afri- comme le posle angiais ne sera
liiont À À ation int que qu'un relai des programmes de
at ; ee à ! Toronto. Mais il y aura un ho-
ss raire complet dans chaque lan-
gue

Western Savings

médecins catho!:-
Raymond Verly
honerai-

assises

and Loan Association

— Le caractère bilin- |
|gue de la capitale ... |

|

| même situation que Montréal

|n'aura qu'un poste de relai avec

te ot

À

Le Dr McCann à dit qu'Ottaws
se trouverait exactement dans la
Ce
n'est pas tout à fait exact, puis-
# la métropole est une source
de production de programmes
originaux, tandis que la capitale

deux émetteurs

Les anglophones discrets...

LE “

LA LIBERTE ET LE PATRIOTE

—— ——

3

+ Lo France est le
pays qui fournit . ..

|
| (Suite de la premiè re page 7 |
| de la guerre civile et pue ‘re
l'Allemagne (784 au lieu de 954
men Lt || BANQUE CANADIENNE NATIONALE
re guerre mondia
. La contribution | j
, de l'Amérique s'accroit . est à vos ordres pour toutes
our mêmes territoires de
mission et à la même date, il y PA :
avait 1,802 missionnaires originai- vos opérations de banque
res de l'Amérique, dont me se
trouvent dans les missions du con
tirent américain et 1,164 en de. et de placement
hors, distribués comme suit: 542
én Asie, 492 en Afrique et 130
| dans les iles de l'Océanie
$ 16 missionnaires am .
AU, évaliant host de leu Actif, plus de $500,000,000

| continent, 624 sont originaires des
| Etats-Unis et 508 du Canada, tan-
dis que 32 seulement proviennent
de l'Amérique latine

| Dans les vingt dernières an- Suceursale de St-Bonitace
| nées, les Etats-Unis et le Canada

; » Qéront
ont plus que doublé leur contri- Roland TRUDEAU

bution à l'apostolat missionnaire:
le Canada a actuellement 705 mis-

566 bureaux

LA

au Canada

Même ceux qui étaient directe-
ment intéressés à l'érection d’un
poste privé émettant des program-
mes en français n'ont pas hésité

*

Maurice Richard, as de hoëkey des Canadiens, est ici photogra-
phié dans un hôpital de Montréal où il a subi une opération à un
genou, récemment. On lé voit (à droite) donnant une photo de lui-
même au jeune Frank Bouchard, dé la ville de Québec, tandis

Bureaou-chef
WINNIPEG

CONGRÈS MARIAL

au
CAP-DE-LA-MADELEINE
Ste-Anne de Beaupré

à 1 thie, et qui est intervenu dans d uel thousiaste
St-Jouse A De deal FPS | pagnie de quelques enthousiastes
Oratoire St} ph le gg Re fr. ren la téié |du turf et de deux autres jour- |
és TS ‘a ‘a se pin pm A nalistes, nous échangions nos im-
: tami i i cu ce = que , » | sur les deux excellentes
Winni le 6 JUILLET via le chemin de fer dar er : | pressions sur les deux excellentes
Départ de Winnipeg fait aucun commentaire sur la! courses que nous avions vues dans

Pacifique Canadien. — Taux réduits.

Henri d'Eschombault Ltée
136, avenue Provencher
St-Boniface, Man.

|
à déclarer qu'ils étaient heureux |
d'apprendre qu'il y aurait un ho-!
raire complet de télévision en no- |
tre langue puisque le gouverne- |}

ment n'était pas encore disposé à
autoriser l'octroi d'un permis à|
un poste prive

Il est à noter cependant que le|
seul député de langue anglaise}
à avoir donné son approbation à |
cette décision est un créditiste de |
l'Alberta, M. E. G. Hansell, de|
McLeod |

Aucun autre n'a fait ce geste, |
pas même M. Donald Fleming,
de Toronto-Eglington, qui pour-
tant parle nctre langue et nous
manifeste souvent de la sympa-|

soir dernier, en conr-

Samedi

décision annoncée par le Dr Mc-

Cann l'après-midi, grâce à la télévision.

Et, pour ceux d'entre nous qui
n'avaient jamais eu l'avantage de
visiter la magnifique piste du

—+ Appel du T. S. Père

Belmont, un joyeux compère, re-
de 2 protestants... | pondant au nom de Star, décri-

(Suite de la première page) |vait les beautés de l'endroit dans

| que Ghislain Lévesque, de Blue River, P.Q., regarde. (CW)

troubler par des erreurs fallacieu- |
ses ou qui, en piétinant la liberté
qui revient à l'Eglise et aux ci-
toyens, s'efforcent de l'arracher
| des esprits et de la détruire par
|le mensonge, les persécutions et
les vexations. Vous le savez bien
| pourtant, vénérables frères, cette
ruse n'est pas nouvelle on l'a
connue dès le début de l'ère chré-
tienne. Le Rédempteur Lui-mé-
me avait averti ses disciples en
leur disant: ‘S'ils m'ont persécuté
ils vous persécuteront aussi’, il
ne faut donc pas s'étonner qu’en-
core aujourd'hui, dans certains
milieux on ait la haine des chré-
|tiens, que dans certaines régions
l'Eglise soit empêchée d'exercer
Sa mission divine, que de nom-
|breux catholiques se laissent
tromper par des fausses doctrines
et s'exposent au danger de per-
dre le salut éternel. Que la pro-
| messe du divin Rédempteur nous
| donne à tous la force et le cou-
| rage... Voici, je suis avec vous
| tous les jours jusqu’à la consom-
| mation des siècles."

Le Pape a terminé en invoquant
l'intercession de saint Boniface
| ‘tout spécialement en faveur de
ceux qui se trouvent dans une
| situation angoissante par suite des
| menées hostiles des ennemis de|
Dieu”, |

Prière de m'envoyer les détails concernant le voyage du 6 juillet, un langage qui aurait fait hon-|
et la vie pour tous ceux qui l'é-| neur aux meilleurs poètes con-
NV: coutent volontiers |femporainé Mais Star, gs
: NOM x “5e s {son enthousiasme pour les es
1 Une ruse qui n'est pas nouvelle | choses de la nature le porte par-
f ! Certes, il ne manque pas de | fois au lyrisme, n'est pas hom-
: ‘| gens aujourd'hui qui repoussent [me à se laisser émouvoir longue- |
ADRERCE …sssdénaioéitianaccersedséasscsdiressdasiédtiethesse jénées sosie | | cette parole, qui tentent de la! ment, surtout quand un cheval!
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jne

| tit

| dit
| qui
Queen's Plate auraient pu main-|

e Régleur de chaleur très précis 1s
| chevaux. Il semble même que d'i-
cinq ou six ans, la possibilité |

rapporte $24.20 pour $2.00 au mu-
tuel, comme ce fut le cas
Collisteo.

“Les chevaux qui participaient
à cette course sont aussi bons,
sur une courte distance, que ceux
qui ont participé à la course du
Belmont”,
Une phrase
mandait une réponse, il va sans
dire et c'est ainsi qu'avant mé
me de consulter les statistiqu®s
de la journée plusieurs paris, pouf
ou contre Star, s'engageuient.

“Et maintenant, messieurs les
sceptiques, il ne vous reste plus

u’à me payer”, ajouta notre han-

icaper. “Voici la preuve irré-
futable de ce que j'avance. High
Gun, le magnifique vainqueur du
Belmont qui est parvenu à dé-
passer Fisherman quelques ver-
ges seulement avant l'arrivée, a
parcouru le mille et demi en
2.304/5. Ceci veut donc dire qu'il
a parcouru le furlong en 12.5 se-
condes. Or, et ceci est important,
Collisteco a parcouru
un huitième en 1.52. Ceci veut
donc dire qu'il a parcouru le fur-
long en 12.3 secondes et que je
vous remercie pour les dons géné-
reux que vous venez de contri-
buer à la cause la plus noble que
je connaisse, c'est-à-dire la mien-
On imagine un peu que ce pe-

discours produisit son effet,
mais que la discussion ne fut pas
réglée, loin de là.

Qu'en pensez-vous?

On maintint tout d'abord que!

Star avait suscité la discussion
après avoir fait tous les
requis. ‘’Il ne sait pas diviser, il
ne sait
tionner”, d'expliquer un des ga-
gnants, mais cet argument ne ren-
contra pas l'approbation de tous,

pas même de Star qui ne savait

pas si on lui faisait un compli-|

ment, ou si on riait de lui,

Chose certaine, les chiffres ap-|
U |

assez diffi-|

portés par cet enthousiaste
sport des Rois sont
ciles à démentir mais nous ne
pouvons pas donner entièrement

raison aux statisticiens, Qui nous |
chevaux |

les
la course du

en effet que
participaient a

tenir leur ailure au cours de trois
autres furlongs? Une seconde,
dans une telle course, peut signi-

fier au moins une ou même deux |

longueurs
L'argument aura cependant ser-
|vi à nous faire remarquer que

le sport des Rois a progressé é-
normément au Canada, depuis la
fin de la guerre surtout. Dans
presque toutes les villes du pays
et plus spécialement à Toronto et
à Hamilton, les foules ont été plus

| nombreuses, les saisons plus lon-

gues et les paris plus importants.
P p

| Avec plus d'argent à leur dispo- |

sition les propr
vaux ont amélioré sensiblement
le calibre de leurs coursiers, for-
çant ainsi les plus grandes écu-

taires des che-

lries à faire de même. C'est alors

les grandes écuries
d'E. P. Taylor, de

qu'on

comme

a vu

celles

Seagrams, de Vern Cardy, impor- |

ter des étalons de première clas-

de voir un cheval canadien rem-
les honneurs d'un derby
ussi important que le Belmont |
n'est pas ridicule d'u tout. Les
deux courses de samedi ont été
enlevantes au possible et nous |
croyons même que la course du
| Queen s Plate était un pewy plus
excitante que celle de Belmont,
si cela est possible. Quoiqu'il en|
soit, ces courses nous ont appris |
a ne jamais mesestimer iles pou-
voirs d'un bon ‘“handicaper”,

Et cette publicité?
Saviez-vous qu'il y aurait sous
peu des jeux de l'Empire, au Ca-
ada? Parions que vous ne con-
naissez même pas la date de ces
jeux? Personne ne peut vous blà-

n

pour |

déclara notre poète,
comme celle-là de-|

le mille et|

calculs |

que soustraire et addi-;

e au pays afin d'améliorer leurs |

Exciusit a ‘‘La Liberté et le Patriote”
par Jacques LEMOYNE

mation sur ce sujet, Les promo-
teurs de ces jeux continuent de
garder un secret exemplaire sur

cette entreprise, au point où on|

erait porté à croife qu'il s'y pas-
sera quelque chose d'aussi monu-

|mental qu'une explosion atomi-

que. Pourquoi ce silence? Pour-|

| quoi ce mutisme à la veille d'un

spectacle qui peut être grandio- |

se, qui peut apporter à notre pays
june grande vague de publicité?
| Nous n'avons jamais êté en fa-
| veur de voir le gouvernement
s'occuper des sports Nous ne
|somimes pas plus en faveur de
cela aujourd'hui qu'hier, mais
{quand un organisme qui a en-
|vers la nation une aussi grande
responsabilité ne semble pas réa-
liser l'importance des événements
qui vont se dérouler, il nous fe-
rait plaisir de voir le bureau na-
tional du Tourisme s'emparer au
moins de l'angle publicitaire et
de l'exploiter à sa juste valeur.
Le Canada espère recevoir un
| jour les représentants du monde
entier pour les jeux olympiques.
| Nous l'espérons nous aussi et nous

| souhaitons que les jeux de Van-
couver placent notre pays bien
len évidence aux yeux du monde
sportif international. Les jeux
remporteront probablement un
très grand succès, mais si on ne
leur accorde pas toute la publicité
äont ils ont besoin, si on ne fait
pas tous les efforts nécessaires
pour attirer au pays les meilleurs
athlètes de l'Empire Britannique
et des pays du Commonwealth
on aura manqué le but, Nous at-
tendons avec impatience les sons
de la grosse caisse publicitaire.
Dans le cas des jeux de Vancou-
ver, les sons émanant de cette
grosse caisse devraient être en-
tendus dans le monde entier, pas

à Victoria.
Un champion actif

Au moment où
ces lignes, nous ignorons les ré-
sultats du combat Marciano-Char-
les, mais nous croyons que Mar-

les par mise hors de combat. Nous
espérons aussi que si le champion
| conserve son titre, il
pas à le défendre plus souvent

qui est actif dans sa division pour

pas vouloir défendre leurs titres
| bien souvent. e j
une heureuse exception mais une

de l'arène depuis plusieurs semai-
nes et l'intérêt a diminué consi-
| dérablement dans sa catégorie.
Chez les poids-légers, on rencon-
tre la même situation que dans les
autres catégories. Paddy DeMar-
co ne semble pas arxieux de dé-
fendre son titre et il fait atten-
dre Jimmie Carter qui aurait eu
d'excellentes chances de le détr-
|ner, si leur combat avait eu lieu
te! que prévu.

Les gérants de Marciano affir-
{ment que leur protégé ne se bat
|pas souvent parce qu'il n'a rien
a gagner dans de tels combat
|Devrait-on dire qu'il n'a rien à
| perdre? Nous ne le croyons pas

ét nous aimerions voir Marciano|
| prendre la liste des dix premiers |

| aspirants et les éliminer en l'es-
pace d'un an, comme Joe Louis a
gi bien su le faire. Marciano est
un cogneur étonnant et nous

pugilistes de l'histoire de ce sport.
| Nous ne partagions pas cette opi-
nion au lendemain de la premiè-
re rencontre Walcott-Marciano,
mais aprés avoir revu le film de
Îce combat et celui du match re-
| vanche, nous avons changé d'opi-
| nion au sujet de Rockey. Charles
|nous forcera peut-être à reviser
encore une fois notre opinion
mais, quoiqu'il arrive, nous espé-
| rons que le champion actuel (au

| décidera de défendre son titre au
| moins une fois d'ici septembre et
| une autre fois avant la fin de
| l'année. Si les champions de base-
ball ne jouaient qu'une fois par
mois, on imagine très vite ce qui
| arriverait à une belle équipe.

Pas de parti

| communiste au Brésil
RIO DE JANEIRO — Le re-|
presentant bresilien Palme ra 2-

| dant d'autoriser à nouveau le par-
ti communiste au Brésil.

Le gouvernement brésilien a
rejeté cette requête et a expliqué

son refus comme suit: “Un parti|

qui renie la liberté, se place en

| duhors de tout droit et ne peut
|mer pour votre manque d'infor- | prétendre à la liberte”, l

seulement à New Westminster ou |

nous écrivons |

ciano devrait l'emporter sur Char- |

n'hésitera |

qu'il ne l'a tait dans le passé. Il!
n'y a rien comme un champion |

soulever l'intérêt du public, Les|
champions de 1954 ne semblent |

Kid Gavilan était |

blessure à une main l'a tenu loin

|
[croyons qu'il est un des grands |

moment où vous lisez ces lignes) |

| vait déposé une requête deman- |

sionnaires prêtres (dont 508 en| ns . ——
dehors de l'Amérique) au lien de | n
285, et les Etats-Unis en ont 811, J0seph M. Kagan, M.D. 'Dr A.-G. Dandenault
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À ce dernier point de vue, on doit |
| signaler le magnifique effort de AVOCAT et NOTAIRE
1

| pays qui ne comptent pas 4 mil-

{lions de catholiques et qui sont
Len très bonne position comme
|la Hollande 137 missionnaires,
l'Irlande: 1,186, de même que ce-
{lui de la Grande-Bretagne: 506
let de la petite Suisse en mino-

|rité catholique et qui n'en a pas
moins 359 missionnaires

|

Un scandale auquel
il faut mettre fin

Voici un exemple d'annon-
ces que des revues et journaux
catholiques n'hésitent pas à
accepter et qui constituent un
appel à la superstition,

IMAGINEZ! Prier
la Vierge avec un
chapelet dont les
grains contiennent
de l'eau
miraculeuse
de la source
créée par
Marie!

Les “rains contien-
nent de l'eau de la
source miraculeuse
de Lourdes

L'endroit exact où
sainte Bernadette a
eu la vision de la
sainte Vierge.

| Imaginez, tenir dans ses mains, voir

de ses yeux de l'eau de la squrce mi-
| raculeuse de Lourdes, scellée de façon
| permanente dans des grains de chape-
| pets transparents! Les 2e, 3e et 4e
grains contiennent véritablement de
l'eau de la source de Lourdes jaillie
| à la demande de la Vierge.

C'est la même eau qui a aidé des
milliers à recouvrer la santé. Le cha-
| pelet est merveilleusement travaillé,
poli à la flamme et donnant l'impres-
sion du cristal. La chaine ne ternit
| pas; le Christ est détaché sur une croix
| de brillant métal. Emballé dans une
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Winnipeg, le 19 juin 195

Mamie ce

Organe des Fronco-Conodiens du Meritobs et de la Saskatchewan
DIEU ET MON DROIT!

r Conodien Publishers Ltd.

NOTRE FOI

"2

70

ce co

correspondor

Toute
|
|

‘a

NOTRE LANGUE

hebdornodarre publié le samedi

concernant

le mercredi matin, à 8 h.

Rédocteur, Le Liberté et le Patriote, 619, avenue McDermot, Winnipeg, Mon.
Autorisé comme envoi postal de Ze closse, Ministère des Postes, Ottows.

ABC La Liberté et le Patriote ABC

pc

Duecteur: L. LAFRENIERE, OM.
Rédoction et administration :

619, avenue McDermot, Winnipeg, Manitoba, Canede.
ABONNEMENT. Canada: 6 Mois,

$1.75: 1 on, $3.00; 2 ons, 55.00
Etrenger: 6 mois, 52.00; 1 on, $ 56.09
lo rédoction du journal doit nous parvenir ou plus torg

2%,

—_—_———

Mise au point de S. Exc. Mgr P. Pocock

“Cenoden V'eetkiy Mewspoper Association” et de
l'Association des Hebdomodaires de longue française du Conads.
|

et être odressée ou

|

1

sur un article du Winnipeg Free Press

Tente de l'allocution prononcée
par 5. Ene. Mgr P. Pocock, arche-
véaque de Winnipeg, à la conven-
tion d'Etat des Chevaliers de Co-
lomb, tenue à Brandon le samedi
12 juin dernier.

was my Original purpost

évening with
visit to Rome
ts at home have
gnt to e for e of
1 )0rta € li cria
s to a clear
cxp ü bject hat Nas
recen epresented ir
à Manitoba newspaper in an
Dreatnt L asty air
f bigotry and prejudice, It
my purpose 10 spCäak 19 you on
Catholic Schools.
First of all, let me state 1
at Ï can understand how men

of good will can be opposed to
[e 2) that I would

hoc 5ch00!s,
come at any time an objective
and fair discussion of the merits
of publicly supported Catholic

Schools. But I have always found

qauif t to ta'erate poor sports-
nanship; and Catholics Schools
have recently received a blow
aimed well below the belt,

Less than a month ago, the
Winnipeg Free Press embraced

its éditorial columns a long
quotation from the pen of Mr

Paul Blanshard whose reputation
for distortion of the h con-
cerning the Catholic Church has
been firmly established. In this
éditorial, Mr, Blanshard main-
tains that the effort of the Catho-
lie Church to provide religious
cducation is a clerically imposed
policy instigated by the hierar-
which, if successful, would
lead to the destruction of Amer-
ican society.

rut
trut

chy,

to understand the disre-
pute into which Mr. Blanshard

is fallen the following citations
from the writings of prominent
non-Catholics are helpful:

1. Mr. Blanshard's book
regarded by our daily book re-

Now

"was

| of Canada.?”

view editor as being excessively

cont quite unfair in its
criticism of Roman Catholic
Church, and with no large liter-
ary merit.” (Source: Mr. Edwin
L. James, managing editor of the
New York Times.)

2, Mr. lanshard's work
permeated with anti-Catholic
bias and is vitiated by a secular-

NntIious,

tne

dus
18

ist-statist philosophy that, in
review's opinion at least, is
far. more dangerous than any-

thing in American Catholicism to
which the book calls attention.”
(Source: Mr. Will Herberg,
Commentary, published by
Amer Jewish
August 1949.)

3. Mr. Blanshard
ready and eager to
all education from the kinder-

t through the university
entirely to the State. He ignores,
inference condemns, the
nany schools and colleges found-
ed and maintained under Chris-

in
the

icarl

“scems
hand over

or by

an auspices, which continue
with more or less devotion to
educate in a Christian atmos-
phere and to furnish courses in
Christ -onvictiqns and morals.

Le cardinal Valerio Valeri, légat pontifical

of the supra
| character of the Church

would logic
imenical churcl!

€

4

which Protestants and Orthodox
ray and (Source: Dr
Sloane Coffin, president
eritus of Ur Theological
Seminary, in Chisti
May 1949.)

first accu

F
labor

9
{ isation {

c
‘rically imposed
Catholic
for your

making

itholic

Il ask
nswer 1nis questior
“Why

rt

you men

are you
such ic sacrifices in behalf
of Catholic Schools, because
your bishops are leading you by
the nose, or because you are
deeply convinced that your
children should recei reli-
gious education?"

To the second accusation
a publiciy supported Catholic
School system would destroy our |
society, I place before you this
question: “Is being des
troyed in the eight provinces of
Canada where publicly support
ed separate schoo!l systems exist
side by side with the public
schools? Are the virtues of
tolerance and citizenship and
the spirit of unity more manifest
in Manitoba and British Colum-
bia than in the other provinces

selves
ne

ve

ä

that

society

In fairness to our fellow citi-
zens of Manitoba who are not
of oùr faith, let me that |
there are multitudes who do not

say

share the loudly-voiced antago-
nistic opinions which sometimes |
appear in the press. You your- |
selves have undoubtedly heard |
many of your non-catholic |
friends speak with sympathy|
and appreciation of Catholic

and parochial schools,
Indeed many Protestant parents
send their children by prefer-
euce to Catholic private schools.
Here are the opinions of some
outstanding Canadian and Amer-
ican Protestants:

Dr. Samuel M. Brownell, Uni-!
ted States Commissioner of Edu-
cation in Washington: ‘The fact
that since their
New England and by their his-
toric contributions to our tradi-
tion of freedom of belief and|
freedom twach what citizens |
wish their children to learn, they

private

origin in early

to

(parish and private schools)
exemplify a democratic free- |
dom.”

Sir John A MacDonald, 1st|
Prime Minister of Canada: ‘We
| should respect the opinions of |
others who differ from us, and|

Committee, |

they had the right to refuse to|
accept such schools, as they could |
not conscientiously approve of.
It is better to allow children to|
be taught at school such reli-|
gious principles as their parents |
wish, so long as they learn at the |
same time to read .., and to be

come intelligent and useful citi-!
zens.'”

Honorable G. Weir, former]
Minister of Education in B. C.:|
“If the great problems of nation-|
building are to be satisfactorily
solved in Canada, there can be

| then they are rendering a public
| service; and since these schoo!ls|
| are not operated for profit, they

| have failed to make the situation

no place for ... coercive attempts |
to secure educational uniformity. |
In no province is the spirit of]
the Fathers of Confederation,
with reference to a satisfactory |
solution of the thorny problems |
arising from the educa:ional!
rights and privileges of religious
iorities bett exemplified |
than in the province of Quebec. |
There is an atmosphere of
turity and massive common sense
about the administration of the
Quebec School system that tends
to avert such occasions for racial
and sectarian friction.
Saturday Night — Toronto
“We believe that there are
large number of Protestants who |
are well aware of tht strong
feeling of Catholics that their
children should be brought up
specific * Catholic atmos-
phere, ane are unwilling to de-
prive Catholic parents of the
right to this kind of educational
surroundings for their children.”
Finally, may 1 be forgiven for
quoting a former President of
the United States, Mr. Delano
Rooseveii: ‘If Catholic Schaols|
prepare youth for better citizen-
ship, if our country be immense-
ly benefitted by a character for-
mation built on the eternal prin-
ciples of religion and morality,|

er

ma-

a

are in reality public... schools.”

To you, my fellow Knights, I
wish to state emphatically that
I am convinced that the. reason
why so many of our non-catholic
friends do not appreciate the
position of Catholic parochial
Schools in the Province of Mani-
because we ourselves|

toba is
clear. There are thousands who
do not realize that we Catholics
are paying our full share in taxes
for the support of the Public]
School System in Manitoba, That |
in addition to that burden, we!

are voluntarily maintaining our|
Catholic parochial and private}
schools. That we are paying taxes
on these schools and that these
taxes are being diverted away
from the very schools on which
they are charged,

On future occasions it will be |
my privilege, I trust, to address |
you on such subjects as the Na-|
tural Law and Education, and!
the Role of the State in Educa-|

A

|tion. Meznwhile, I appeal for|

good sportsmanship and fairness |
on the part of the press; fairness |
in reporting local and national
press releases which speak out |
in favor of separate schools — it|
is an abuse of power for a hos-
tile press to doom a cause to si-
lence; fairness in objective jour-
nalism manifested by unwilling-
ness to attribute unworthy mo-|
tives to those who claim a right. |!

Perhaps the editorial which!
occasioned my remarks this eve-
ning was but a passing blunder
which has had the happy out-
come of recalling to us our own|
obligation to present our case
cleärly, calmly and fully to a
public we can trust,

| triche-Hongrie un régime moder-|

au congrès marial national

OTTAWA
Pie XII a nommé le cardinal
Valerio Valeri légat pontifical
au congrès marial national du
Canada ainsi qu'à la cérémo-
du de la
statue de Notre-Dame du Cap.
La nouvelle a paru dans l'Os-
servatore Romano du 15 juin,
apprend-on au service d'infor-
mation de la Conférence ca-
tholique canadienne, à Otta-

nie nement

*OuUTrOr
LCUUTOTI

wa

Le cardi Väaleri, qui vie

à cgalems presider €
gres lgieux canadien à
St-Laurent, du 26 au 30 j t
est prefet de la Sacrée Congré-
gation des Religieux, l'une des
12 gregations naine qui

s ; À P tif

ans l'ad } ati des affa
es de l'Eglise. Il est âge de 70

Né à Santa Fiora, d
Cittu Della Pieve, Ital
vembre 1883,
a ete ordonne pr

iocèse de
:, le 7 no-
] Valeri
le 21 decem-

—- S. S. le pape!bre 1907, sacré archevêque titu-|

laire d'Ephèse le 28 octobre 1927
et nommé cardinal le 12 janvier
1953. Il a été notamment délégué
apostolique en Egypte, nonce a-
postolique en Roumanie et en
nce, president du comite cen-
tr de l'Année sainte de 1950,
assesseur de la Sacrée Congréga-
tion de l'Eglise orientale, con-
sulteur de la Sacrée Congrégation
des affaires ecclésiastiques extra-
ordinaires et membre de la Com-
mission pontificale pour la Rus-
s

ic.

Le congrès national du Cana-
da, qui aura lieu du 5 au 15 août

au Cap-de-la-Madeleine et à
Trois-Rivières, constituera l'évé-
nem de l'Année ma-

» pays hacun

irs du congrès
sera consacré à une province du
pays, cependant que la journee
de clôture sera la journée du Ca-
nada tout entier et marquera le
lé d'or du premier couronne-
t de Notre-Dame du Cap

jub

Dame du Cap a en ete
couronnee le 12 octobre 1904 par
Mgr F.-X. Cloutier, alors evêque |
de Trois-Rivières, en présence de
6 archevèques et de 7 évêques
canadiens. Cette fois, c'est le le-:

gat pontifical qui couronnera
cette madone, en présence des 2}
cardinaux canadiens, LL, EE. les
cardinaux J. C. McGuigan et P.-|
E. Léger, du delégué apostolique
au Canada et de la plupart des
membres de l'épiscopat canadien, |
des représentants de l'autorité
civile et des pèlerins de tout le
pays. La cérémonie du couronne-
ment aura lieu dans l’aprè
du 15 août, sur les terrains
l'Exposition de Trois-Rivières, où
la statue de Notre-Dame du Cap
sera portee en triomphe dans
une grande parade mariale de
plusieurs milles.

Les deux cardinaux canadiens,
le delégue apostolique, 12 arche.
vêques et 10 evêques des 10 pro-
vinces présideront des cerémo-
nies ou feront la prédication lors
du congrès, dont la plupart des
manifestations se tiendront
sanctuaire Au Cap, confié à la
garde des Oblats de Marie-Imma-
culée. Le président du congrès}

au

est S. Exc. Mgr G.-L. Pelletier,
evèque de Trois-Rivières

Le dernier cor.grès mar na-
tional au Canada s'est t en

juin 1947 à Ottawa: S. E. le car-
dinal J. C. McGuigan, archevé-
que de Toronto, avait alors été
nomme legat pontifical [l

| bre 1890, il était en Argentine a-

| l'ancien, plus conforme aux dé-|

US

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Billet du vendredi

LA LIBERTE ET LE PATRIOTE

Le triste et mystérieux destin
de l’archiduc Jean Salvator

La Liberté et

{Spécial à

Au côté du drame de Mayer-
ling, dont on n'a pas la clef après
soixante-cinq ans, il en est un!
autre, moins sombre, qui garde|
aussi son mystère, Les deux ont
trait à l'Autriche et à la famille |

! des Habsbourg. Si l’on ignore de |

quelle façon l'archiduc Rodolphe,
fils de l'empereur François-Jo-
seph et prince-héritier, trouva la|
mort au pavillon de chasse de|
Mayeriing, en même temps quel!
la baronne Marie Vetsera, on ne|
sait davantage ce qu'il advint de!
son cousin, l'archiduc Jean Salva-|
tor, prince de Toscane, qui quit-
ta son pays en 1889, après avoir
encouru la disgrâce de son sou-
verain, et disparu de la face de
la terre avec la femme qu'il ai-
mait, Ludmille Stubel, :

Salvator avait adopté le nom
de Jean Orth, d'un château qu'il
possédait à Gmunden. En décem-

vec celle qu'il appelait Milli A
partir de cette date, on ne sait
rien de lui ni de sa compagne.
Ils brouillèrent si bien deurs pis- |
tes que personne ne les retrouva |
jamais de façon précise,

Les historiens se penchèrent sur
le problème de leur disparition,
mais aucun n’est arrivé encore, à |
ce jour, à déméler les fils de leur |
existence mouvementée, qu'ils|
voulaient aussi simple que pos-
sible. Peut-être la cour de Vien-
ne, avant l'effondrement de 1918,
en savait-elle plus qu'elle n'ad-|
mettait, mais personne n'y des-|
serrait les dents, de ceux dans le!
secret. On se montrait, sur Jean |
Salvator, aussi réticent que sur|
la triste fin de Rodolphe.

Mr x

L'un des derniers à traiter de|
l'archiduc Jean Salvator, dit Jean}
Orth, est George Delamare, en
l'ouvrage intitulé Dans l'Ombre]
de Mayerling, (1) Il y met en|
scène les deux cousins, aussi a-|
mis que parents, qui critiquaient
ensemble le despotisme et les mé-
thodes administratives de Fran-
çois-Joseph et se promettaient,
à sa disparition, de donner à l'Au- |

plus libéral et généreux que|

ne,

rs du peuple. Mais le vieil em-|

pereur vécut jusqu'en 1916, son|
règne se prolongeant sur 68 ans, |
et il y avait alors longtemps qu

n'était plus question de Rodol-
phe ni de Salvator, Comme un

| chêne chargé d'ans, François-Jo-|

seph tenait le coup, malgré les|
drames et les deuils de sa famil-|
le, ré la malédiction qui sem- |
blait les Habsbourg, |
malgré les problèmes d'un empi
formé de morceaux dispara-|
tes, qui menaçait chaque jour de
démembrer

Jean-Népomucène Salvator,
ce de Toscane, archiduc d'Au- |

sur

re

triche, naquit à Florence en 1852,
fils du grand-duc Léopold IT.et
de la princesse Marguerite des
Deux-Siciles. Son pere ay per-
du ses Etats, il fut élevé à la cour
> Vi , Où il embrassa la cçar-
ë litaire, y devenant offi-

droit de naissance, colo-
d'artillerie à vingt-quatre ans,

\éral à vingt-neuf. Mais ä-
vait des idées avancées, révait de
rénovation sociale, Par snobisme

utant que par conviction, il don-|
nait dans l'anarchie qui se dessi-
nait déjà, en même temps que le

prince-héritier, l

| moins de quatre mois.

| duire les

e Patriote'’)

De caractère fantasque, brave|
jusqu'à la témérité, plus intelli-
gent que pondéré, Jean Salvator |
posa des actes publics qui lui at-
tirèérent iles sanctions de l’empe-
reur. Entre-temps, il s’amoura-
chait de Ludmille Stubel, fille
d'un rentier, Ayant décidé de |
quitter l'Autriche, il partit avec |
elle, acheta en Angleterre un|
brick-goélette qu'il baptisa Santa-!
Margharita, en souvenir de sa!
mère,
. Embarqué pour l'Amérique du:
Süd, il séjourna pendant quelques
mois à Buenos Aires, puis il dis-
parut. Une lettre de Milli à ses
parents, datée du 12 décembre |
1890, fut la dernière reçue à Vien-|
ne, On raconta ensuite que le!
Santa-Margharita se perdit corps
et biens en contournant le Cap
Horn, mais ce naufrage ne fut
jamais établi, et l'on a même rai-
son de penser qu'il n'eut pas lieu,
Il semble qu'à partir de ce mo-
ment Salvator, devenu Jean Orth,
ait essayé de se cacher et vivre |
sa vie selon ses goûts, sans lais-|
ser de traces,

On ne sut jamais s'il épousa ou
non Ludmille Siubel., On l'aurait
aperçu dans la province d’'Entre-
Rios en Argentine, à la fin de
1899, mais la rumeur veut qu'il
soit parti peu après pour le Ja-
pon. On croit le retrouver en Chi-
ne, vivant sous le nom de Gio-
vanni Orterro, et l’on se deman-|
de s'il ne finit point par échouer
en Perse, ou aux Indes, accueilli
par un prince nommé Béchir. Sal-
vator pourrait seul nous éclairer |
sur son destin, par des documents
laissés par lui, mais rien de cet-|
te nature n'a encore été découvert. |

L'ILLETTRE

ge: ) Editions Sfelt, Paris.

Paysages à l'honneur sur |
les billets de banque |

OTTAWA — Les ponts d'acier
et de béton armé ont beau surgir |
comme par enchantement d'un |
océan à l'autre, l’ancien “pont
couvert” du Canada conserve la|
place d'honneur dans le paysage, |
du moins sur le nouveau billet |
de mille dollars que la Banque du |
Canada mettra en circulation dès |
le mois de septembre.

Dans une conférence de pres-|
se, au Parlement, le gouverneur |
Graham F, Towers, de la Ban-|
que du Canada, et deux de ses}
haut gradés ont donné des pr
cisions sur les nouveaux billets
de banque et ont fait circuler
parmi les journalistes des échan-
tillons des nouveaux billets d'un,
de deux, de cinq, de dix, de cent

let de mille dollars, dont 140,000,-

000 d'exemplaires d'une valeur
globale d'un milliard et demi de
dollars seront mis en circulation
par toutes les dix provinces en
La lon-
gueur des nouveaux billets de-
meure la même mais la largeur
a été diminuée d'un huitième de]

| pouce. |

On veut familiariser le public |
avec les nouveaux dessins et cou-
leurs des billets de banque afin
de protéger contre les faus-
La décision de remplacer
e portrait de feu roi George
VI par celui de la reine ra

|

e

saires,

(photo spéciale de Karsh) sur
les billets de la Banque du Ca-

| nada a permis à la banque d'’exa-

les

miner tous sjages de la pré-
paration et de la fabrication de
ces billets, dans le but de leur as-|
surer ue meilleure sécurité, d'en
simplifier l'apparence et de ré-
frais de production. Ce
travail, commencé au début de
1952, a donné lieu à un certain
nombre de changements.

| discours

communistes

| de

| mais en
| de conserver ce qu'ils ont acquis |
| politique de paix, les communis-

| plusieurs guerres

| tre

{qu'au prix d'une vigilance cons- |

|sera érigé à proximité du

|centaine de tentes pouvant | ) + . ;
| dépit des rumeurs, d'ailleurs non | Côté, une commission royale ins-

| fondées, au sujet de la retraite | tituée en vue de faire une. enqué-
| possible du premier ministre | te sur la preuve en matière d'a-

: | La Chronique
.… internationale

| Correspondant spécial de ‘

Il y en a qui n'ont que le mot!
dialogue à la bouche. Le dialo-|
gue avec qui’ Avec les commu- |
nistes, évidemment, A tout pro-
pos on lit dans les rrvues et les
journaux qu'il faut “entamer le]
dialogue”, et il arrive la plupart|
du temps que c'est le dialogue|
qui nous entame! En fin de se- |
maine dernière, les agences de|
presse étaient pessimistes au su-|
jet des résultats éventuels de la
conférence de Genève. C'est un!
insultant de M. Molo-|
ministre des Affaires étran- |

de Russie, qui a fini par
ouvrir les yeux. M. Molotov a
non seulement accusé les Occi-|
dentaux, et tout particulièrement |
les Etats-Unis de visées agres |
sives, mais il a réclamé pour les
plus moitié
l'indochine, Läà-dessus, M.
Eden est devenu songeur et M.
Dulles rageur. Pourquoi s'éton-|
ner des exigences soviétiques?
N'avons-nous pas eu l'exemple
de la Corée? Les communistes
envahissent un pays et, sous pré-
texte de sentiments huimanitai-|
res, ils réclament ensuite la paix, |
prenant la précaution |

tov,
gères

de la

par les armes. Nous aurons ainsi
localisées, des
trèves et des armistices. Chaque |
fois, les communistes enregistre-
ront un gain net, Voilà le résul-
tat le plus clair du fameux dia- |
logue.
Un discours de Winston Churchill
Chef de guerre remarquable,
M. Winston Churchill est un piè-
homme d'Etat en temps de|
paix, Pendant que M. Molotov|
tonnait ses réclamations à Genè- |
ve, le premier ministre britanni- |
que soutenait tranquillement que
la coexistence des pays commu- |
nistes et des nations libres était
chose possible, “Il est du devoir |
des communistes et du monde li-
bre, a-t-il dit, d'essayer de vivre
en paix ensemble, et de lutter
sans cesse pour aplanir et sup-
primer leurs divergences, car les |
haines meurent à mesure que,
passent les années... L'humanité
se trouve au point le plus dan-
gereux de sa route, D'une part,
la science lui ouvre le gouffre
de la destruction la plus comple-
te, tandis que de l'autre, elle lui
présente une vision de prospé-
rité et de confort qu'aucun peu-
ple n'a jamais connue et dont
aucun peuple n'a peut-être ja-
mais révé. Nous savons, à l'Ou-!
est, quel choix nous ferons. Mais |
nous savons également que nous
ne pouvons atteindre notre but.

tante, tout en persévérant, au
prix d'un coûteux sacrifice, à or-
ganiser nos forces militaires. Nous

Ine devons jamais perdre de vue

l'importance d’un règlement ami- |
cal et pacifique de nos différends |
avec l'URSS.”

Un campement indien au
Cap-de-la-Madeleine
OTTAWA — Un campe-
ment indien typique entouré
d'une palissade de bois brut |

Sanctuaire marial du Cap-de-
la-Madeleine, au cours du
mois de juin. Il groupera une

accommoder environ 300 dé-
légués des tribus indiennes
du Canada et des Etats-Unis
qui participeront au grard pèle-
rinage marial national, auquel
les adhésions américaines don-
nent un caractère international. |

La présence des pélerins revé-|
tus de leurs costumes distinctifs
de chaque tribu apportera de vi-|
ves couleurs à ce campement!
unique. |

Représentants de l'Ouest |

Les adhésions au grand péle-
rinage des Indiens parviennent |
chaque jour au bureau du direc-}

teur, le R. P. Gontran Laviolette, |
O.M.I.,, au Centre catholique de |

|

| l'Université d'Ottawa. Les délé-

gués les plus éloignés seront les
trois Indiens de la tribu des Dé-
nés venant du Yukon. Il y aura |
aussi une vingtaine de Pieds-
Noirs de l'Alberta ainsi que des
Cris, des Chipweyans et des O-
jibwés des trois provinces de
l'Ouest. |

Présentement, on compte une
soixantaine de pélerins de
l'Ouest, qui rejoindront ceux de
l'Ontario à la premiere étape du
pélerinage le 23 juin, au sanc-|
tuaire des Saints Martyrs cana-|
diens, à Midland, Ont., pour en-|
suite se diriger vers Ottawa, Au |
Cap-de-la-Madeleine, près de!
Trois-Rivières, les pelerins de!
l'Ouest et de l'Ontario rencon-|
treront ceux du Nord québecois
ainsi que du reste de la province
de Quebec. Les pélerins améri-|
cains viendront de Hogansburg,
N.-Y.: ils appartiennent à la tri-
bu des Mohawks. Le pélerinage, |
une fois complet, formera une

par André LAFLECHE

La paix telle que l'entend M. Churchill. — La paix telle qu'elle!
existe est une

Lo Liberté et le Patriote”

‘paix armée’’.
Condamnation de la guerre
La brève citation que nous ve-
nons de faire,
co de M. Churchill, contient

urs

{toute la politique étrangère du

Royaume-Uni. D'un côté, désir
de paix et recherche de solutions
pacifiques aux problèmes inter-
nationaux, de l'autre, prépara-
tion militaire... en cas de be-
soin! Il n'y a pas de doute que
le recours à la guerre ne devrait
être envisagé qu'en tout dernier
ressort. La guerre a été condam-
née par les plus hautes autorités
morales et, en tout premier lieu,
par Sa Sainteté Pie XII On a
condamné la guerre en soi. Mais
à plus forte raison a-t-on répu-

dié l'idée même de la guerre ato- |

mique qui ouvrirait, comme 1
dit M. Churchill, gouffre de
la destruction la plus complète

Mais notre désir de paix

a

1
ie

te. Car les communistes ne sont
pas sans exploiter nos sentiments
humanitaires. Ils se livrent à des
actes d'agression, parce ‘qu'ils
sont certains que nous voulons
la paix, Et ce désir de paix de
notre part devient une arme que
l'on retourne contre nous, Notre

tes s'en servent pour étendre leur
domination dans le monde. Ainsi,
par exemple, la Chine n'aurait
jamais envahi la Corée, ni l'In-
dochine, si elle n'avait pas été
absolument certaine que les Etats-
Unis avaient décidé de ne pas

| bombarder

extraite du dis-!

| 2

| véritable ne peut pas se conce-
|

|

doit |
s'appuyer sur une force imposan- |

PAGE TROIS

son propre territoire,

comme le suggérait le général

| MacArthur.

La coexistence des deux blocs

La paix, que souhaite M. Chur-
chill, n'est que la conséquence
de la coexistence paisible des
deux blocs. En soit, cette coexis-

tence dont on parle tant, n'est
pas impossible, Elle se conçoit
très bien en théorie, Mais les

| choses se gâtent dès que l'un des
| deux blocs se met à gruger l'au-
tre systématiquement, Certes, mé-
| me dans ce cas (c'est bien ce qui
se passe depuis la Corée), la paix
générale est encore possible, A
la condition, bien entendu, que
le bloc occidental! se laisse man-
avec Mais la paix

ger docilité,
voir ainsi. Il n'y aura de paix que
lorsque les deux blocs se respec-
teront l'un l'autre, A partir de
ce moment, l'on pourra procéder
| à des échanges commerciaux pro-
fitables. Encore une fois, la paix
est menacée quand une partie
prend prétexte du désir de paix
“à tout prix” de l'autre partie,
pour entreprendre une campagne
de domination mondiale, On ne
peut pas traiter la Russie sovié-
tique comme on traitait la Rus-
| sie tsariste., Les normes sont chan-

|
|

gees. C'est pourquoi la paix que
nous connaissons depuis la fin du
conflit mondial, n'est pas une

| vraie paix. C'est une paix armée.
| C'est une paix sans cesse mena-
| cée, C'est une paix qu'on appelle
“guerre froide”, Donc, la paix que
nous connaissons maintenant, c'est
la guerre,

La Russie communiste tend tou-
jours la main à quelqu'un. Mais
c'est pour le dévorer. L'autre jour,
l'Osservatore Romano repoussait
la main tendue des communistes
italiens, parce que les communis-
tes veulent s'allier aux catholi-
ques pour mieux les asservir, Rien
n'est plus contraire à la paix du
Christ que la paix communiste.

|
|

A la Chambre

... des Communes

Correspondant spécial de ‘’La Liberté et le Patriote‘
par Denys PARE

La longue durée de la session est causée par les difficultés
auxquelles le gouvernement doit faire face.

OTTAWA — La première ses-
sion de la 22e législature sera
prorogée probablement la semai-
ne prochaine, Si les députés ont
voulu démontrer qu'ils gagnaient
bien leur $10,000 d'indemnité
per année, ils auront réussi, sur-
tout si on considère la longueur
de la présente session. Commen-
cée en novembre dernier, la ses-
sion ne se terminera qu'à la fin
de juin. C'est un record quant à
la durée des sessions en temps
de paix.

Est-ce que la législation adop-
tée au cours de la présente ses-
sion motivait la présence des
représentants du peuple à Otta-
wa pendant quelque huit mois?

Une réponse négative s'impose
à cette question. 11 suffit de com-
parer la nouvelle législation a-
vec le programme législatif de
la plupart des sessions précéden-
tes pour se rendre compte qu'il
faut trouver autre cause que cel-
le de la législation approuvée
pour expliquer la durée extra-
ordinaire de la session en cours.

Si une élection générale de-
vait avoir lieu dans un avenir
prochain, cela pourrait expli-
quer la longueur de la session
actuelle. Les élections viennent
d'avoir lieu. Il n'est évidemment
pas question d'en appeler au peu-
ple dans un avenir prochain en

Louis St-Laurent, Des partisans
trop intéressés font circuler de
temps à autre des nouvelles sans

M. St-Laurent.
La cause principale

La durée extraordinaire de la
présente session peut difficile-
ment étre expliquée par les cau-
ses normales: une lourde législa-
tion et la tenue prochaine d’une
élection générale.

Comment alors expliquer qu’u-
ne session qui ne comportait en
somme que très peu de projets
de loi susceptibles de provoquer
d'interminables débats, ait eu
une vie si mouvementée et si
longue”

Il est certain que la revision
du code criminel a de nouveau
cette année accaparé le temps de
plusieurs séances. Et on n'a pas
fini d'en entendre parler.

Les Communes, après de mul-
tiples séances, ont approuvé la
majeure partie du nouveau ccde.
Les sénateurs se sont ensuite
chargés de faire leur propre re-
vision. Ces derniers ont reussi à
y apporter quelques amende-
ments, surtout en ce qui concer-
ne la version française, On a
substitué, par exemple, au mot
“pénal” celui de “criminel”, 11
parait que cela est plus juste
d'appeler notre code ‘‘criminel”
plutôt que ‘“‘pénal’”’, même si l'ex-
pression sonne moins bien. En

ques mots, les amendements du
sénat concernent surtout le nu-
mérotage des articles. On veut
donner à la version française un
ordre alphabétique français, c'est
bien normal.

Le code criminel a été rédigé
en anglais, puis traduit par la
suite en notre langue, Ainsi tra-
duit, l’ordre alphabétique en ce
qui concerne les renvois aux dif-
férentes définitions n'avait plus
aucun sens, Il est évident que ce
ne sont pas les traducteurs qui
sont à blâmer, mais plutôt les
législateurs, Le code n'a-t-il pas
| été approuvé aux Communes a-
| vant d'être étudié par le sénat?

Difficultés nombreuses

L'adoption définitive du nou-
veau code criminel sera retardée
| à la prochaine session, Une fois
que les amendements que propo-
se le Sénat auront été soit reje-
tés ou approuvés par la Chamn-
bre des Communes, cela ne signi-
fie pas qu'on aura entièrement
terminé la revision du nouveau
code. Le comité parlementaire
chargé d'étudier certaines clau-
ses du code, telles celles visant
la peine capitale, les punitions
corporelles et les loteries, deman-
dera dans son rapport à la Cham-
| bre de reprendre son étude, lors
| de la prochaine session. De son

|liénation mentale, poursuit tou-
| jours son travail. C'est dire que
{le code criminel, du moins cer-

| fondement au sujet du départ de | taines de ses clauses, fera l'objet

de nouvelles études par le par-
| lement, lors de la prochaine ses-
sion,

Si le débat en marge du nou-
| veau code criminel a été pour
| quelque chose dans l'intermina-
| ble session actuelle, ce n'est süû-
| rement pas l'unique ni la prin-
cipale cause de la durée de cette
| 1ère session du nouveau parle-
| ment.
| Dans le domaine national, com-
| me dans celui des affaires inter-
| nationales, le gouvernement ca-
| nadien doit actuellement faire
| face à plus de difficultés que ja-
| mais depuis longtemps,
| C'est là, à notre avis, la prin-
| cipale cause qui peut expliquer
|une session extraordinairement
longue, La crise du chômage sé-
vit toujours, Les fermiers de
| l'Ouest trouvent non seulement
de la difficulté à vendre leurs
| produits, mais ils devront se ré-
| signer à les vendre à un prix in-
|férieur à celui qu'ils avaient
l'habitude d'obtenir depuis quel-
| ques années. Dans le domaine
| international, la faillite de la
| conférence de Genève pése lour-
dement sur les épaules du gou-
| vernement canadien même s’il
| en est aucunement responsable,
| Cet échec peut avoir de graves

caravane de sept ou huit autobus. | plus de la traduction de quel-| conséquences,

1954

LA LIBERTE ET LE PATRIOTE

PAGE QUATRE

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pris pc n la baie d'Hud- | Hérmani été choisi comme | nesse, Mme Armsti Présidente de la | cais”, Enfin, le R. P. Curé en pro- M. McRuer a vendu sa prati- SCHOOL
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voyez toujours 4 K,. » n e, Notre-Dame d wa: pilote, y 4 paroisse st Alph nse M. Corri-! rant 4 s Abhess ét de surveil- | pharmacie pt son service d'or- OS Semen, Ce
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Reine du Manitoba rier, J.-E e, et autres personnalités Impor- rs filles soit modeste,
146, avenue Provencher Ain es trois Eglises qui com- et ex- Femmes canadiennes- tantes dans le monde éducation- f ; ci
St-Boniface posent ‘actuellement la province étet À Ê nel. M. W, Pinsonnault, de l'Office
Téléphone 20-8182 ses ET aus de St Danton Aus | : françaises Le programme comportait dif-| National du film, présenta deux D À MA
mm” |: <:1, à cu: s, sous la pro- | is présidents des| La Fédération tenait, le mer. |{é"9nts apports et communica-| films très appropriés et qui a- RS CR
Epetr à Rai) 1| . lités des 5 La. ECC AO nait, 1e Mer-\tfions de la part des membres de | vaient pour titre: “Il agit selon 1] 1 '
M: aitoba re M reve . F. J. Bruns, S w* 14h *|credi 9 juin, la dernière assem-|jexécutif. La Rév. Sr Marie-Jo-| son âge” et “Sociable six and STUDIOS PAL « CHABACH
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Me ra) 2 Pr a big À Ps y io ti gt opera ét dy PE he 2 fit savoir à semblée que, du- | d'une courte discussion et Ja soi- é
Bourbonnais pe pa 4 Lun 7 Prye pur MR TR 4 ativités |, Pour bien clôturer ces assém- | rant une certa e période des va-‘ rée se termina par un goûter. Vous recevrez une photo 8 x 10, non encadrée,
ï ANS LT De age ne: socllle To RCbern: per blées, Mme J.-.E Cossette, notre | &ances, un cours de couture serait pour seulement $1.00
Horlogers et Bijoutiers AnauST 25 1É AANASIE apostc liq pe FE B. R. Wolfe F'SORs PUS. | présidente, avait organis sé une par-| donné par la compagnie “Singer” | Conclusion Ouvert chaque soir jusqu'à 9 h. p.m
Expédiez-nuus vos montres EU bai AA AIN on | tie de cartes pour les membres| toute jeune fille anxieuse de Ù , ns ;
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1 FR » 4 . f k et la fierté ce et ie re-
se e e rechange d F . > pes : je tre : $ 5, Nout ldnon à remercier ‘bien t fierté d'une race et d'une re
Se spécialise s les moteurs L'exa at ukrainier passa Quel: Le Hs } "MA D CE sue Sous ligion qui ne meurent pas M. H. Hand, autrefois à l'emploi de ‘Win
Diese is peg a a si reçu ce témoi gna- 1 3 2 se filles, | sincer nt nm )SS Dur RDS PS SNS Tr de te F i ’ oo. ”
Soudage «a lélec ze de foi er mr u Mmes EF ndeau (Maria-An-|son grand encouragement et s { "1 A !
le toutes ge d à fois Immaculée Cor Mn Paul 1 u (Maria-An- son al "agerr sa nipeg Silver Plate désire annoncer qu il a
NN otio st le nom d'Oblat de | na) et Lionel Lessart (Margueri. | générosité à l'égard de la Fédé- Réunions de l'Associati 0 Acer qi
F. ASSELIN, prop cept qu le nom d'Oblat d a Lior I Margueri généros ité à l'égard éunions de ssociation : y
10615, rue Vouville = St-Bomitace || Marie Immaculée. De nos jours | te). tandis que mpagnons de | ration. | “Manitoba Gun Dog" maintenant ouvert un commerce à 254i/, rue
Tél.: 20-1438 — Rés: 20-6613 ||encore. le nom du R. P. Philip pe re d'au-| Madame la présidente désire Main, sous le nom de Colonial Electro Plate, et
Ruh, O.M.I. consulteur diocésain exprime voeux et souhaits de TR (1 s \
11 - va | pig +55 . Dans le but de promouvoir la
et constructeur d'églises, est illus- M. E- bonne, heureuse et saintes vacan- “4 Pme À Le en L chiens il sollicite votre clientèle
BARNET LEWIS t e da s tous les milieux ukrai- tie à tous les membres de la Fédé- | rapporteurs, l'Association “Mani || manufacture et replaque tous genres
OPIOMETRISIE — OPTITIEN L Zur LU toba Gun Dog'' annonce qu'elle ' s 12
CXAMEN DE LA VUE tréah| La prochai semblée aura se propose de tenir une série d'articles d'églises, tels que calices, ciboires,
= d “ 5 7468 | lieu le 2ème met redi de septem- É [da ssemblées durant l'été à la sa- atènes, croix, crucifix, etc
cn, ADIPICR AcINTERS “11: F'oPeur bre, Lu: | blière de Fort Whyte. Ces assem- P ’ ? ? à
(au coin de la Portage et Main) F -X Paille n de s ÿ | + 35 con f
RORRNEER PORT © MONTE GENT IX époux Li cdectrier tente |'blées porteront sur l'entraine- Il désire faire savoir à tous les merribres du
pésnt R k su AGENT GENERAL ane Li ment à donner à ces chiens. Cha- j h : f
On parie français dsnitonsats VU MAS osé Daiuel Rs cune d'elles sera sous la direc-||| clergé et d'ordres religieux qu'il leur accordera
maladies, polo, incendie AE or ARE Ve tion d'un entraineur de chiens à t :
M LL y ke r * ane autre 300 16 M né LRO EE enen le mers res et pans M +2 que
+ 70e TOM PART PÉRCPR, MORAMQUS (a 7" MME M.-A. CUSSON an mé emps des dé stra- ar le passe, alors quil était avec | autre com-
Fernand Viau Telephone 20-6633 sideront à Montréa [en même temps des démonstra [e) ep 3 q
sh ue Mme Marie-Antoinette Cusson, j tions pagnie.
Député 4 la e des . “E d olir de Ste 7, Whitehall Annex, Win- | Voici les dates où ces assem- |
Communes pour la nscripuon F re pes, est déc édée le mercredi 9 | blées auront eu: le 30 juin: le
de St-Boniface peg, es | blées auront liet le 30 ; 1; Je
LA nee Parole Me Bt] Edouard et role” LEE LE à ne mmmna PURE TE | COLONIAL ELECTRO PL
FOURS VOS COR ANPENES OPTOMETRISTE ET OPTICIEN e 82 ans FF a+. ont ré. |tembre, entre 7 h. et p.m. A ER
Ottawa, eurent la seen du Examen de la vue chez au eatre aris rinaire de Beloeil, PQ. Mme 09. | Tout propriétaire de chien rap- | 2542, rue Main, Winnipeg
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S e avoie est c argé La reproduction de cette prière a
Tél 201467 | des fêtes de 1955 été perse en reconnaissance de fa- à ri h 5à361b | ii
veurs obtenues, a frire, chapon a S, C ÿ
MONTREAL — Le deuxième | ou e nb “a tareulte Fix

centenaire de la déportation des |
Acadiens sera célébré dans tou-
te l'Acadie au cours de l'année
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vocat, ancien député au parlement
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» moi, essayez ARHUMA et vous Arellano, archevêque de Guate-

ne voudrez plus vous en passer. J'en ai toujours une bouteille ||mala, avait, dès 1948, et encore | de ces manifestations. PA +
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Mais je puis vous dire que depuis que j'ai fait sa connaissance | dans je gouvernement de son/nos compatriotes à travers le e 24 b : 2 9 =
la semaine passée, il est mon meilleur ami puisqu'il m'a fait || pays. Dans ses lettres pastorales, | pays. Ils seront sans doute heu | la caisse, oites, $ .8
connaître ARHUMA et m'a rendu un grand service.” il exhortait ses fidèles à lancer | reux d'entendre M. Savoie leur
Signé: Cyrias ST-PIERRE une croisade de justice sociale | donner un aperçu des démonstra- © Marie, Reine des Coeurs, avocate

afin d'esrayer la marche du mou-
vement communiste au Guate-
mala. (NC)

tions émouvantes qui auront lieu
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rance: demandez à Jésus notre gué-
rison, notre pardon et notre persévé-

| rance finale.

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sez-nous. Nous avons confiance en
vous. (3 fois.)
téciter cette prière neuf jours con-
écutifs, se confesser et faire la sainte
ur L
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L S LA: LL d 0 te
‘a arc lay élevé , Va-et-vient le Marie 8 et
M. et Mme Paul Dubé et le rraine, Raynald et se Fi-
| t I anscona jour e la canonisa ion e Pie petit garcon, de Haywood, ainsi | sette, frère et soeur de |
q M. et Mme Georg Bois Nos malades
a à pré rise a r DUNREA — Le samedi 29 ma x de rétablissement! Philippe et Madk e, de St-Nor N souhait rompt ré-
P F" jour de la canonisation de Pie X. | vo si 1e Delaronde rt, rendirent te à le t ta t à MM 14 ‘D bé
lRANSCONA L'impo- e ” D" 27 apôtre de la des en- Va-et-vient rents de St-Georges, ré
té cérémonie ARRETE TL LUE D à. s, une s petit M. Aimé B : était er MM. et Mmes En Bou
. 1 | Gerry, à cou ] < recevaien pour la ta tt à r dans salet Ca \ Not À
d t 4 U - premiere \és à la e, ainsi q {. Alain Hé- Der : passage \ S
N'oi Da - nes labie sa rents : èr : 1 i trai ail- ! Amb mn ta
* = à , mm Pl RSR Pendant ! gieuses Weyburn, Sask v. Sr St-Eme
e de L ms} 21m 41 : de + . et queiques-ur élèves Francois B et, gradué du que M. et Mme D
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e 17 F eu d'un!:, je h : 61 | rendirent pieuse de beaux! collège de Gravelix est €
A nai et r : A | D gr 1es appropries, et à l'issue r
, : "| ose s pr | | de la rémonie, M. le curé s'a-
Ï sacerdotale : . 4 LP dr essa ps ix € its en termes choi-
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r 1 l { nt d ” er : : famille mé er et
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D + presente par Mme VW 1 ille par siale, avait Bert Joseph L irse, Joan- revint! ]a victoire avec celle de Baldur.! Ra Bois) SE ñt rendu
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; ; | x ° t d pute Magic nil se : e que son s améliore, Son la représentat.on du film I \ l en 1924
B - 4” es ve : , T On pouvait voir et pot qu elle aussi, était un!Coq'; tous en ont été fort satis TT
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f | 4 rer parmi les travau e se remet petit à petit. | fa ; 3 +
; e lendemain de | sentée par M. W. Frase ides III à VI LUE - à. a mai: Edmo: 1d-Wilfi rid-Jo-
prer : ' , 6 nt ) + U'IT c ] avri e 1
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| ‘ 16 aute ” P X 1d te | € t 1 n Le nel se upont
Banquet Ex fer M. Baud = gnala © as ; | outé ur e e. eanson, citoyen ten connu arrain L n se M. et Mme DREWRYS
' 4 # wi, £ AUU A laia QU jl t rtnutr sembali, oncie et tante
. Ô ; e grand événeme " , P d L LE Le L4 de l'enfant
Rue serv à [ie fran 44 | tte, est décé ai E DIVISION
: plus di Lord fanie pi de Lorette, est deceue 1e mal — —=—
onstit el Le 8 € le but d'ob- LORETTE Le lundi 31 mailsi désintéressé. C'était un homme DU MANITOBA
e tout « avaient ete £ p les salres pOur | s'éteignait doucement, au milieu | sage, un collègue compétent et N Il d
. di tà à et de n pour venir ger | l'achat des prix pi omis des siens, à l'hôpital St-Bonifa- | actif ouvelle _agresse DE
La Cie Parent Limitée r de mariale. Ils dis-| Le concours marial dans notre |ce, M. Camille Jeanson, âgé de Remerciements |

sse, même s'il ne fut pas|58 ans et 10 mois

. LM .
Ge, fut un succes puisque | Pendant les cg mois que dura |, Me Camille Jeanson ainsi que || Librairie Catholique WESTERN
urs y ont pris une part ac-|sa maladie, M. Jeanson édifia son frères et soeurs du défunt, £ANADA

mêm 1e pour leur dévouement | Cñaqu Ge ant tive ét un srl nimbre à nc - désirent. remercier tous les pa-

rs leur église et leur Ï : sagnants ve et un grand nombre de Pa-| entourage par son grand esprit! et ais qui - ont témoi

[115 particuierer Le 4 k ni luren ( m roi I sont montrés très in-| de foi, sa patience et sa rfait I ete l u I i-
| gnala particui: nt | nièfthe Bourtét "1 DL ITR + in- | de foi ñ ras sa partalte | Lé de la sympat à l'occasion BREWERIES

nt 1exposition | résignat à la volonté de Dieu pi
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É 1 dévoué bienfaiteur |

ier de la façon av
fidèles aidérent l’a

é Barclay à | demandent quelle est la signifi- | lui-même de Chorges, dans cona, comme diacre et sous-diacre.

. l'appellerait à travailler”, la pa- 2 N. D. d L d P Senez, curé, chanta le service, I iteur. |
Téléphone no 45 roisse l'accompagnerait de ses U ans, e owerview assisté de M. l'abbé Donat Mc- | commmmmnmmnmmemmntenmmenne = ———
poursuivre sa vocati la dénomination du|Hautes Alpes, grand bienfaiteur | Les servants de messe étaient cinq

N.-D. de Lourdes, Man. “h ières et de ses pensées 1 se dit Dougall, de l'Ile-de-Chènes, et de
= T 1
| Les pneus //£ SAVER ‘5. ess
l'abbé Barclay marial de Notre-Dame | de l'église de Powerview. Le be- | neveux du défunt: Gérard et Mau-

laquelle ses POWERVIEW — Beaucoup se| Mgr Henri Bernard, originaire | M. l'abbé J. Bellavance, de Trans-

: ne k SAT ES aus, à Powerview, dans la!soin d'une nouvelle églis ans|rice Therrien, Germain, Arthur |

À Û pi ner À *" | paroisse de Pine Falls. I1 ne s'a- |la paroisse de Pine Falls et le se-| et Gérald Jeanson, |

PI mn 3 HR verre | 8it pas d'un nom connu par les}cours de Marie pendant l’inonda- M. Jeanson étant membre des |
nai RUN Par dont : © ©," | foules de pieux pèlerins comme |tion de la rivière Rouge, en 1950, | Chevaliers de Colomb, les por-|
DOFG, pi pd À hr Tnt Pt "4 Lourdes, ro La Ayiette, furent des coïncidences providen- | teurs honoraires furent des Frè- |
van P y la vo RNA k Be I g, et outefois, il a |tielles qui firent surgir ce nou-|res Chevaliers: MM. Eugène Cour- |

on

| nouveau titre de gloire. | teur des: écoles. Les élèves de
{l'école Centre et leurs maîtresses

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t au pays d'a-

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Pp vers , res es j s dans un charmant coin des | au Canada, selon les désirs de son | ga, Léon Desmarais, J.-B. Grégoi- t b t
st [2 evaDie en partie ae S ÿ ne ] , a Re . “
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élévation au si x. ce. 0 po 1 > se montra à une humbl e| Au bord de la rivière Winni- | Bohémier. Six neveux du défunt ° .
le etage gioite accompli, *ADDE $ EX" | bergere, en 1664. Depuis quelques | peg, non loin de son embouchu- | agissaie : S fs:
MNT EE À rec - g , à Le | agissaient comme porteurs actifs: t t t le)
Séioee badge pres ge PE pr caps. ro | années, plus précisément pus | re dans le lac Winnipeg, une nou- | MM. Georges, Emile et Grégoire son a so U ion aux r IS an ers
MS. avonce du 92-2496 a it 1e nçais, 1itallen | j'j; idation de la rivière Roug | velle église de Notre-Dame du | Jeanson, Joseph Cournoyer, Léo
Portage _ [en 1950, le nom de la Vierge at eus surgit en 1951 pour se dé-| Arpin et Adrien Landry. La qué- | An
WINNIPEG COM- | Laus devint cor inu et aimé dans | velopper en un sanctuaire où Ma-|te fut faite par deux autres ne- | {
L mai- le diocèse de -Boniface et dans rie pourrait montrer la prodiga- | veux, MM. Clovis Jeanson et Al- ? Ÿ
es vaste territoir es du Manitoba. [lité de ses grâces en faveur de |fred Gauthier.
= — La dévotion à N.-D. du Laus | ses. enfants. Bien que le pieux Parmi la nombreuse assistance, BOUCHE SES PROPRES CREVAISONS
‘ ps te mobnt fondateur ne vit son oeuvre que | on remarquait, entre autres, Mgr PENDANT QUE VOUS
M EAER D are 3 Jon 1! dans ses ébauches, Marie ne cesse | J.-C. St-Amant, P.D., ancien cu- U ROULEZ
» AH 4 RR DE Oblats au foros dede Prodiguer ses soins à ce lieu |ré de Lorette, la Rév. Sr Marie
no T E L 1 A EK re lie & d DLATS pe Pet è $ | béni. Inutile de mentionner que | des Apôtres (Rose Cournoyer), Un obturateur adhésif breveté
gardiens du s& uaire du Laus, | é s« (4 : | pes est n C4 BW. .
ä-vis l'Hôpital de St-Boniface ee pale gines de leur|+7nêe mariale ne peut qu'a- des Soeurs de St-Joseph, nièce du sous la semelle bouche instan-
Chambres nouvellement rénovees et redécorées — Taux raisonnables pentes à Notre-Da- | J°uter à ce pèlerinage marial un | défunt, et M. C. Muller, inspec- | tanément le pneu autour de
|

pour les visiteurs à l'hôpital 2e t . é A ° ‘ : ,
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394, rue Taché, St-Boniface Téléphone 20-2034 \ au diocèse de| Le dimanche 27 juin prochain La maison Coutu avait charge a disparu.
n 1873. Non sans | aura lieu, à notre sanctuaire, le | je funérailles |

Provifentl elles) premier pèlerinage diocésain en| Outre son épouse, née Marie- ?
s de Marie, refuge | l'honneur de la Ste Vierge invo- | Ahhée Couinover M rasta tte | 7 3 :
THE WESTERN PAINT CO. LTD. péch . sufsirent en ite, | quée sous son titre de Notre-Da- nr rh 1à A ESS PASS à | PHEU AVEC SNEU

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ix avant d'acheter ruiles, St-Hyacinthe, et la chapelle au| visite à la patronne du lieu, les | ours Mme Joseph Landry, de | TRANSFORME LES DANGEREUX ÉCLATE- à AIR

notre crypte core longtemps dans le coeur de
s amis de la Ste Vierge, | ceux qui ont été l'objet d'un zèle |

repose

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’ - Nangis | / S : St-Boniface, Maria, Cécile et Mme | û
ir églises et maisons religieuses. >herb TA ie Lt de PARDRENS er en, plein air, | Joseph Therrien, de Lorette, MENTS EN DEGONFLEMENTS LENTS
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let de p°ierinage dans les vas- | du Laus sera portée en procession | . Comme membre de la Commis- tient l'ai t truite direct
tes passe où Manitoba, : | au chant des litanies, comme c'est | sion Scolaire pendant plusieurs ient l'air est construite directe-
D» e e au zèle d'un de sc ,|la pieuse coutume au sanctuaire | années, M, Jeanson exerça un dé- | ment dans le pneu, laisse sortir
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de souhaits françaises pour toute c k AU E rest tre-Dame du Leus a rendu pos- | moignage de leur sincère gratitu- |
$ F nadien-français d'une haute com- | ::,, 1 Er cree 7 PA ë é :
157 P h St-Bonit nâter muni | sible la construction de notre | de au cot de sa carrière com- L
+ evenue lrovencher, 2#-Bonifece L “AA chapelle: Mgr Henri Bernard,|me président de ladite Com-| ,
7? P.D. dont la dépouille mortelle | mission, ce sentiment vivra en-| DÉRAPACES
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allocutions de Mgr Fulton J. Sheen Maillardville

Va-et-vient

ut

F nd M Mme Lafrance, de St-
: | rendu visite à M

Fult J, Sheen reviendra à f t M Léonar
à v : 4 . 1 a
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1 millions de spectateurs >
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Ô Am Le dimanche 6 juin, ! dans pro
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L ‘ 2 ' aie d é - , .
Nous sommes heureux de rendre hommage à celte importante ) > p H ] Unis
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L 1 iaea iteau eulnt : 1 ù bases $ à F iTag ) ,
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M. et Mme Armand Bremner PAT |Ja-Madeleine. M. Parent, dont la renommée en art sculptural s'é que Nai
M Ime Arman remner, So € Naissance

tend par tout le pays et au delà, est le créateur du Chemin de la

« 1 rtialité et un bon goût : ,

| (\ d s Croix de l'Oratoire St-Joseph du Mont-Royal qui fait l'admiration |! ua DI6 |

EN SASKATCHEWAN de tous. Le kiosque manitobain a été confié aux religieuses des Gagnants des prix

J N s SS. NN. de Jésus et de Marie. ET PEU Section 1: affiche de la con-

” Radville ? e … à à - Aline Fenez, Louise
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Winnipeg, le 19 juin 1954

PAGE HUIT

Historique de la paroisse
St-Hyacinthe, La Salle, Man.

Concours à l'occasion du
jour de la coopération |
à l'école de Ste-Anne |

19-6-54

La Maison Saint-Joseph

OTTERBURNE, MAN.

” terminés en svotembre STE-ANNE — Pour encoura-|
| a À ger nos écoliers à pratiquer da-| | . td
D ns TS 1 t attendre vantage l'économie, Va Caisse po | Pensionnat - Ecole Supérieure
: Lei, 2% pour | x D one à bronil 7 .
dre estaura- | Est de Ste-Anne a OTganise, dirigés par les Cleres de St-Viateur
ie 1 qut | 8 ? 4 de ja journée dite| nid 3 .
DT Le che Nouvelle église or concours sous | . . » nù ma P* .
qui fut chars 0, mere our 1! COURS GÉNÉRAL (High School)
< ia ve À nnement des Caisses Le s . .
milié 2e bon goût et le sens | ! rement des Caisses | rades 9 lusiv
sbie 15 fie, Lors dues ef: Grades 9 à 12 inclusivement
: nvoquée à la salle pa- i Î
Vols À + 4 s prix furent décernés Directeur de la chronique: Léeonide ALARIE
r s part c ue, suivants: Stella | REDACTEURS
air r e | À
ha rd Claire Lemoine, Denise | Albert Morin, Georges Béliveau et Guy Chartrand.
ñ Y
nanté d'u Jocelyne Duguay, Jean- RER
: oqi Lucille Grouette,
: nn LS n Banville: Maurice Cha- i i
_u al Vandale, Rhéal Tou- Les Anciens | Au fil de ma plume
t ad | Chamsagee, Iéec De! sont priés de ... Le din
Laramé hrist ‘ ;
1 ) prea ar” Sca cbr ; Re «+. collaborer au travail oné-|riante élèves
1 1} 1 € ir reux du recrutement, en envoyant | entreprenner à St-
I Shower aux directeurs des districts, les! Bonif p vett la po
1 4 a. sa | renseignements suivants: nom, a-|tesse au Ju La messe est
Nr y” ” fhôg tal el dresse actuelle, année de l'inscrip- | chantée dans notre chapelle à 8h
we 4 à hotes tion à la Maison St-Joseph, an-|30 et le départ eu immédiate
nv née du départ et occupation ac-}ment après traj s'effectue
de 5 et de F F
à Er ®! tuelle, Voici les noms et adresses | bruyant et ga
- r pe tal des responsables de chacune des À: dtiu de l'été bise
app s quatre divisions de la province: Ch. PNR SSSR RRQ
f ! ; vait r à les re- nous arrivons Juste à temps pour
lors 3 es catho s dans Le | District nord-ouest, comprenant |]e diner. Les fèves au lard, les
n territoire comprenant 22: L 5 4 | la ville de Winnipeg et la région | sandwiches et la crème glacée
âmes dont 145 communiant M. Ronald Van Hailst, élève du y hdi de la yire ge |abondent, Cet excellent repa
e ï DL à) Sion nine IT à 806 l'hecrée cf ge et au nord de l’Assiniboine, de us remplit de vigueur, et voilà
nsent"10 ens cie Lt-dens FC ent dun it do 0 1 A même que la Saskatchewan et|jes deux clubs de ba i sa
Pape Cas dun ché CHU aus mes E 3 | Û ñ . l'Alberta. Directe M. Joseph} frontent dans une lutte amica
Fée à» Pons Parmi les centaines de personnes qui se dévouent aux préparatifs du Congrès marial national | Bergeron, 369, avenue Proven-| Grâce à notre habile lanceur, Ga
: [ja Rivière R Ts S|qui se tiendra au Sanctuaire du Cap du 5 au 15 août, se trouvent ces artistes en train de confection- | cher, St-Boniface briel Girard, nous remportons la
r eu- FOR PURE |ner des écussons en vue de la grande parade mariale du 15 août. De gauche à droite: les RK. SS. Paul | District nord-est, c'est-à-dire la | victoire de la partie des grands
à: Ke Sa | Emile et Marie-Mastaï, de la maison-mère des Soeurs Grises de la Croix te an et Mile Jeannette [asie située à l’est de la Rivière | Chez les moyens, une catastroph
vérens HP Larouche. Ces personnes travaillent depuis plusieurs mois déjà au Sanctuaire du Cap; elles confec- | Rouge et au nord du chemin delde la dernière manche nous est
crement et la statue de la sainte S L 4 . s L ] I eur s de ; A ar à ouge et au 1 du chemin dede la dernière manche nous est
Vierge : t- upicn tionnent aussi les décors qui serviront au jeu scénique, ainsi que le kiosque des Soeurs Grises de la |fer du Canadien National, Direc- | funeste.
ME Mobilier d Ecole Faure ‘ Croix pour l'exposition d'histoire mariale du Canada; elles travaillent sous la direction de l'artiste | teur: M. Jean Dupont, St-Geor- dde à rot PRE ©
me 7 CTP TL | bien connu Fleurimont Constantineau. (C.C.C.) |ges, Man. L'Ontario fait partie| es sol ass 2 pes» A
Jeux confessiornaux de ché b nou tn détes she à | ——— a : 0 sHPNERRNE “ de ce district , NANTES À 00, RU
ame du Rosaire - lableau d'honneur pour le ca-| nt a RD Pères Capucins pour faire de cet
, " sor >lacé dan le ” | apucins pc aire de çet
de S, Antoine. face A a titi +4. | téchixme | St-Eustache | . District pp ve) CORETORENS | te journée une sorte de pèleri
hoisi dans l'Est , Du > Grade VIII: Lucille Payette 98. ! | |ia région qui s étend à l'ouest de | nage
ar mt aussi en ché- | AUCIHE ; . i L-' | # : «7 78 : s A fon @ » age.
par M. le chañoine Beaudry et\,4 jes autels latéraux sont du| Grade VII: Liliane Payette 58, | M. André Lachance, qui étudie | .\ 4 à Sr à partir de la} 6"
avait été envoyé à La Salle sous! éme st: que maitre-autel | Raymond Ferrand 54 |pour devenir dentiste à l'Univer- ivière Assininoine Jusqua la R balavyé
ses sOins et d'une nde beauté. I hai- foule Afte ibel ; : sité de Montréal, est chez lui pour frontière américaine. Directeurs umeur Dalayee
Au recensement de 1905, La|°t Un pes er aut: . = a Grade VI: René Bourrier 56. bag ver Ds M. Raynald Lavack, 383, rue De- | y ; ë 4
Salle comptait 43 fam corne | F2, ME CIC VOR, OS COTES UB! Grade V:: Paul Payette 91,|"7 idré Chi , st de sautels, St-Boniface, et M. René| La rumeur voulait que les “tra
Dr. chef-d'oeuvre d'architecture, Noël! Dali y. y" Ar M. André Charbonneau est de : Fo | vailleurs” eussent leur ‘“’pique-ni
prenant 271 âmes 75 com- | Sr s 5; Noëlla Payette 79, André Bour-| +; de avelb à Ab : a Beaudette, St-Jean-Baptiste, Man, | Yaileurs euss r, Pique-ni
: Le coût de cette église s'élève à |;jer 71, Laurent Brunel 71 | retour e Gravelbourg pour la :1. | que-congé-récompense’" le 8 juin
muniant L690.000.00 et le Mobiles: à 94.1" 1222277 AR ! | période des vacances. aœint-H ‘face District sud-ouest, soit la ville | Malheureusement le vent et la
Le 4 juin 1905 eut lieu la vi-|000.00. M. le curé Gendron a payé! Grade IV: Gérald Payette 88, | Mme Bill Ridley, ainsi que ses Saint-Honifac de St-Boniface et sa banlieue, et|bluie ont tout balayé depuis les
site mOn PRE co [lui-même $1,500.00 sur le mobi- | ROEE! agua orge petits garçons, * 2 Faso n Rivièr TR gg de l'est nt bardeaux de l'étable jusqu'à la
firma 15 enfants. Puis, il fit la lier et a aussi donné le bas relief Grade : Irène Payette 92,lest chez ses parents, M. et Mme a à a Rivière Rouge, € epuis es}, . U , Ses ec
| , r et a aussi donné 1] eli - , 4 à 1 ; rumeur. Un peu désappointés, ces
bénédiction d'une croix de che-|de la Cène, le tatues de saint | Robert Payette 90, Donald Bour-|Clément Lachance, pour une se- Dirigé par les MARIANISTES voies du Canadien National jus- | Due dailionre" Prves 2" que le
min érigée chez M. Jos. Comeau. | Pierre et de saint Paul. La famil-|rier Y0, Ronald Tarko 90. maine qu'à la frontière américaine vers! 6] jeur soit plus clément.
Dès 1909, M. Gendron commença | le Comeau a donné la statue du ee —————————— —— a le sud. Directeurs: M. Lionel Gri- |” :
+ mard, 202, avenue Provencher, St- | LA. NE

] La télévision a beaucoup d'a-

Exposition mariale

oir leur
de

e cette oeuvre
faire les plans

par M. J.-

St-Boniface en 1912. L'entrepris
fut confiée à MM. Danduranc
Senez et Provencher, entrepre

neurs de St-Bo
furent commen

face, Les travau
le 29 juin 191

Pr )L ince

; premières of-

}

de Montréa celui-là
qui avait tracé les plans
it Séminaire construit à

e |

1, |
x
4

du

(a suivre)

S. Exc. Mgr Beck

délégué à ‘’Pax Christi’”

S. Exc. Mgr Beck | enfants de St-Claude. En ce pre-

LONDRES
à a été indiqué par

pres

ntwood
"Opat À
des catholiques

du mouvement

angiais comme

Manitoba

vous invitent cordialement

urement

membr

mme

nples rense

ou a ur

res de voîre

jnements

façon permanente

famille.

Catholic Welfare Bureau

? 20

rue Hargrave

Winnipeg, Man.

anglais
“Pax Christi”.

de St-Claude le samedi 5 juin

| ST-CLAUDE — Le 5 juin a-

vait été choisi depuis longtemps |té et de l’entrain de tous,

| pour le pèlerinage marial des
mier samedi du mois, environ
150 élèves se groupaient joyeu-
sement devant l'école du village.
A 8 h., trois autobus bien chargés
|roulaient vers St-Boniface,
Comme le but de cette journée
mémorable était d'honorer spé-
cialement la sainte Vierge, le cha-
pelet fut récité durant tout le
trajet, intercalé par le chant des
mystères du Rosaire,

A la grotte de St-Boniface

Vers 10 h,, l'heureux groupe
|arrivait à la grotte de Notre-Da-
me de Lourdes, de la paroisse du
Sacré-Coeur des Belges. M. l'abbé
J.-M. Gagné, curé de St-Claude,
y célébra la messe. Le chant fut
exécuté par les enfants de St-
| Claude, À l'issue de la messe, les
| novices des Filies de Ja Croix
| chantèrent les couplets de ‘“No-
| tre-Dame du Canada” et le choeur
| reprenait le refrain avec enthou-
| siasme et ferveur.
En revenant par l’archevêché,
| les pèlerins s'arrétèrent saluer
S. Exec.
chantèrent leur plus filial ‘“Vi-
vat” auquel Morseigneur répon-
avec une bonté toute pater-
elle et réjouie,
| Le repas du midi fut un diner

festival

des

aubaines

4
\2 ce

qualité au Cards

15

EN PORTIONS
INDIVIDUELLES

V-1054CF

Le meileur vinaigre e ||

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DU NOUVEAU!

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POUR BÉBÉS ET POUR
ENFANTS

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Mgr M. Baudoux. Ils lui}

| petit

tait la première célébrée à l'au-

champêtre assaisonné de la gaie-

Vers St-Norbert

Vers 1 h. de l'après-midi, les
autobus reprenaient la route, cet-|
te fois à destination d'un autre |
lieu de pèlerinage, la nouvelle!
grotte de Notre-Dame de Lourdes
au noviciat des Oblats, à St-Nor-
bert.

Cette grotte avait été inaugu-
rée le dimanche précédent, et le
pèlerinage de St-Claude était Le |
premier de la saison à cet endroit. |

| albums d'images pour les grades

| durant cette Année mariale.

La messe chantée par M. l'abbé
R. Roy, vicaire de St-Claude, à

tel de ce lieu béni. Les novicés|
oblats voulurent bien contribuer
à rehausser la solennité et la
beauté du service divin en chan-
tant alternativement avec les jeu-
nes pêélerins.
Le R. P, Veilleux

Le R. P. A. Veilleux, OM. |
supérieur du noviciat, adressa la |
parole à ce groupe d'enfants. I1|

| guet; les grades VI de Mlle Y.

insista sur la nécessité et la beau- |
té de la dévotion à Marie. Il leur |
donna comme devise: ‘A Jésus
par Marie” et “A Marie par Jé-
sus .

Vers 6 h. du soir, les autobus
reprenaient le chemin du retour.|

De tous les événements de cet-
te Année. mariale, ce pèlerinage!
du 5 juin sera certainement celui |
dont écoliers de St-Claude |
garderont le plus profond souve-
nir.

les

Exposition de couture

du Club 4-H, à l'école
de Ste-Amélie

STE-AMELIE Les filles du
club de couture 4-H ont eu leur
exposition de travaux le lundi 31
mai, dans l'école St-Vincent de|
Paul, Mile Murray était présente |
pour juger les articles et les ca-
hiers d'échantillons.

Les élèves ont exécuté un beau
programme, sous la direc-
tion de leurs institutrices, les Rév.
Srs Ida de Jésus et Georges-Al-
bert, Oblates, et avec l'aide de
leurs dirigeantes, Mmes Lucien
Archambault et Gustave Verhae-
ghe et Mlle Berthe Langlois.

Nous avons pu admirer de beaux
articles de couture par les élèves. |
Mile Emélie Moriaux avait con-
fectionné des morceaux désignés
au programme de la 6ème année: |

les autres, élèves des 3 premières
année avaient des jupes, blou-
se et tabliers. Tout était

emarquait des
e du Lac, dont |

fu-

lq mots
"Ar-
et
vie pour
terminer l'après-mid
Nos malades
Prompt rétabli ent à M. Ro-
land Landry, patient à l'hôpital
de Ste-Ros Le
M. Ren 4 ch + ép

ser quelques jour St
r examen médical
avec sa soeur

peg

250,000 exemplaires de la
Bible vendus en Holland

e

j LA HAYE cou a
| semaine de la le, qui vient de
s rouler en Hollande, on a
| vendu 250,000 exemplaires de la |
Ë Bible. Ces éditions ont été pré-
} | parées par les soins de la Société
| St-Wilbrod, qui se propose en ©
| tre de publier et de distribuer

| une série de dix livres religieux |
| parmi les catholiques de Hollande. |

| et A. Ruest;

| venir,

exécutés par les élèves des gra-|
des I à XII. Ce sont de modestes

inférieurs; des cahiers marials
avec toute la série des réponses
aux questions du concours ma-
rial; dessins divers et autres tra-
vaux qui prouvent que l'on a
réalisé quelque chose de concret

Tout n’est sans doute pas d’un
goût parfait et un censeur exi-
geant trouverait matière à criti-
que, mais on ne peut s'empêcher
d'admirer la somme de travail
qu'ont exigée certaines réalisa-
tions.

Les plus méritants

Certains grades méritent une
mention speciale pour l'ensem-
ble des travaux présentés à l’ex-
position mariale. Ce sont les gra-
des II de Mme H. Griveau et de
Mlle M.-R. Beaulieu; les grades
IV de Miles A. Goulet et V. Ma-

Mousseau et de Mme Dauphi-
nais; le grade IX du Frère L.
Reile, S.M.

Voici quelques précisions sur
les grades et la liste des élèves
dont les travaux ont été retenus
comme étant les meilleurs:

Le grade XII du Frère R. Hic-
kerson, S.M., a réalisé un bel
autel de la Vierge et a illustré|
les litanies de la sainte Vierge.|

Le grade X s'est lancé dans!
les poemes sur Notre-Dame.

Le grade IX du Frère L. Reile,
S.M., a fait d'excellents albums
marials; le meilleur travail est
celui de R. Van Belleghem.

Au grade VII, du Frère J.-M.|
Larochelle, S.M., mentionnons le |
beau travail de L. Lévêque. |

Paul Genest, du grade VI de|
Mille Y. Mousseau, a certaine-
ment exécuté les travaux les plus
artistiques de l'exposition.

Mentionnons dans les
grades: au grade VII du Frère J.
André, S.M.: A. De Leeuw, L.
Avanthay; au grade VI de Mme
Dauphinais: R. Faucher, F. Fon-|
taine; au grade V de Mme G.|

autres

| Trudeau: R. Auger, A. St-Pier-

re; au grade V de Mlle A. Lan-|
dry: E. Guyon et L. Delbaere; |
au grade V du Frère I. Breton, |
S.M.: R. Muller et R. Dupuis; au
grade IV de Mlle A. Goulet: G.
Rajotte et M. Belot; au grade IV
de Mile V. Maguet: G. Gauthier
au grade IV de Mlle
L. Hudon: F. Renouf et R. Beer-
naerts.

Le grade II mérite vraiment
la palme pour l'ensemble des
travaux effectués. Tous les petits
bambins de Mme H. Griveau ont
présenté un cahier marial où
tous se sont appliqués à écrire
de 1 mieux et à coller les plus

belles images de la Vierge.

Au grade II de Mlle M.R,.
Beaulieu, les élèves ont profite
de mable complicité de leur

maîtresse pour présenter de vrais
petits chefs-d' pour leur
âge. Parmi ces artistes en herbe
signalons: J. Hébert, G. Seewald,

oeu

L. Duguay, D. Regby, J. Little,
G. Le: eur. Même le gr ide I
est brilla represente par
N. Seewal

Autres curiosités de notre ex-
position: la collection complète

de ‘ Marie”, considérée par L'Os-
servatore Romano comme la plus
belle revue mariale du monde;
une dizaine de tradÿüctions, y

compris la traduction chinoise et
ponaise de ‘Mon ideal, Jesus

"ils de Mirie” du R. P. Neubert,
’ te livre a déjà eu

ste. Ce
taine de traductions et

nt en préparation,

Premières impressions
de la télévision

vision n est pas ce que
isait d'abord. On espere
que cela sera perfectionné à l'a-
Pour le moment, l'image
n'est pas claire et fait mal aux
yeux. Je crois aussi que ce n'est
eure chose pour les
cela les fatigue et les ar-
rête dans leurs études. |
R. CONSTANT. |

| tacles. De plus, elle montre beau- |

{la Cie ‘Robin Hood Flour’”.

| l’'auditorium,

hockey ou de footbali, on pourra
aussi y assister. Autrefois, pour
assister à certaines parties, il fal-
lait se déplacer et cela coûtait
souvent cher, Avec l'argent que
demandaient certains déplace-
ments, on peut s'acheter un ap-
pareil de télévision.
C. NORMANDEAU.

Toute la ville était dans l'at-
tente de voir le premier pro-
gramme de télévision. Beaucoup
furent désappointés. Le son n'e-
tait pas clair, la vision pas nette,
les programmes n'avaient pas de
vie et le prix d’un appareil de
télévision est abominable. Selon
moi, la télévision n’a pas eu tout
le succès qu'on en attendait. J'ai
parlé à un vendeur et il m'a dit|

ue les achats n'étaient pas ren-;

us à la moitié de ce qu'il s'atten-
dait à vendre. La télévision telle
que nous l'avons maintenant de-
mande à être perfectionnée.

R. PROTEAU.

La télévision n'est pas un bien
pour la vie sociale. Les gens|
n'ont plus qu'à rester chez eux|
pour avoir toutes sortes de spec-

coup d'idées folles américaines. |
Elle pourrait bien servir à l'edu-|
cation comme cela se fait dans
l'Etat de Washington. Espérons
que dans un avenir prochain |
nous pourrons faire un bon usa- |
ge de la télévision.

D. BROPHY. |

Le saviez-vous?

R. Chicoine, du grade V de!
Mlle A. Landry, a gagné une bi-|
cyclette au concours organisé par |

à parler de la construction d | Sacré-Coeur, la famille Dega-
€ permanente qui res Le é, celle de la sainte Vierge M 2 4 + | vantages. Lorsqu'il y a de la lut-| Boniface, et M. Henri Desharnais, Un d : t
ai Pis Au " Déa as Pr Wiont Oitarbuine n dernier mo
co un monument de la f Alfred Cormier, celle de saint L'exposition mariale est ou-| te à l'auditorium de Winnipeg, | Otterburne, Man,
paroisse, Il mit tout | Joseph et la famille Lagacé, celle verte depuis le 8 juin. Elle grou-| nous pouvons la voir à la maison. d 8 P La rédaction de la chronique
isiter ses paroissiens ! de saint Hyacinthe | pe les travaux de tous genres] Quand il aura des finales de Réunion du comité du collège d'Otterburne annonce

| à lecteurs qu'elle s'effacera
temporairement, sauf pour parai
{tre occasionnellement pendant les
vacances. Elle reviendra l'an pro
chain, nous l'espérons, fournir
aux amis de la Maison les détails
et les faits de la vie courante pro-
PYT" A [pres à les intéresser, Merci aux
Félicitations lecteurs de leur sympathie et
A M. Maurice Bilodeau, ancien | Peut-être de leur assiduité. Merci
élève (1944-46), qui vient d'obte- | à la direction de La Liberté et le
nir son baccalauréat ès arts du| Patriote,
collège de Gravelbourg.

f : £ : * ses

Une première réunion du Co-
mité provisoire de l’Amicale sera
tenue en juillet pour commencer
l'étude d'un projet de statuts et
voir aux moyens d'intensifier la
localisation des Anciens.

*

Léonide ALARIE (XI)

Pèlerinage Marial Diocésain

Au Sanctuaire de Notre-Dame du Laus,
POWERVIEW, MAN.,

Près de Pine Falls

Le 27 juin 1954 — de 2h. à 6h. p.m.
PROGRAMME

(Heure avancée)
2 h. p.m. — Arrivée des premiers pèlerins; prières,
confessions, Memento pour Mgr H. Bernard,
P.D., qui repose dans notre crypte.

3 h. 30 p.m. — Procession avec la statue de Notre-

Le Frère J.-M. Larochelle, ti-|
tulaire du grade VIII, est parti
pour St-Lazare, P.Q., pour assister |

à l'ordination d'un de ses frères.
LI L2 +

Le toit de l'école, au-dessus de
exige une répara-
tion urgente, en raison de son
mauvais état
L L LA

Le 10 juin . ,. et l'école con-
tinue à être chauffée par les bons
soins de nos dévoués concierges:
MM. V. Comeau et J. Saulnier, |

Dame du Laus au chant des litanies de la
sainte Vierge, comme au Laus en France.

15 p.m. — Messe solennelle sur le terrain de
l'école Léonard. S. Exc. Mgr M. Baudoux as-
sistera au trône et donnera le sermon en fran-
çais. Communion générale,

30 p.m. — Retour à l'église, Salut pontifical,

Distribution des prix aux gagnants de l'Ex-
position Mariale,

Objets de piété — Souvenirs — Rafraichissements

Occupez sainement vos loisirs

en lisant chaque semaine

“LIBERTÉ ««PATRIOTE

et son supplément

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Winnipea, le 19 juin 1954 LA LIBERTE ET LE PATRIOTE PAGE NEUF

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| : - i re M Art} George, MM.
sf D MS CR 7 bi eaux et Félix Sylves-
1 " L 1 . eDiert +
I J pr” 2 | étaient de passage à Winni-
: i ä L € \iuerent a
à i t eurs enfant Fr
1 ( Mi: rancois Sylvestre est de
D É P : ben eétour de son séjour a Montréal
l et M Angéla Sylvestre, em-
ni ployé St-Boniface, à passé quel-
p . Alb t | o nez sa mére
fa pf rince- er Baptemes
- s Hk Mary, née le 28 mai, f1i-
En wisite ie Georges Tinant et d'irène
” M. et Mme André-J ige Keen P et marraine, M.
. { enfants, Reggie, Philip Alt 9 et Mme Charles
i ne 1 eto ‘ T na
1 Edmont J Marie-Aima, 1 e 31
p 1, aprés a Jassé unt ai, fille de Louis Perreaux
? 1 le « pa ie Marguerite F arrain et
) 1. et À m;L. Pag narraine, M. Jose mesnil et
] fré {lle Marie-L \y, rem-
« r re :
ge à W peg. P 1 Bert J orn l \
I f n net de h: é e-Noi
{1 ne } « 1 et 1 part 16 ! ä 4 £ 16
( arr MM. et Mn Maurice | Lucie Bau
r p Casgra et Marcel Dansereau nié M. et

Notte profit ect

que ne le veut l'opinion générale ! La seule chose

bien moindre

>

que la plupatt des gens reprochent LE Si

au profit, cest d'êhe :
dispropotionné …

Mais que faut-il entendre par‘ dispropottionné""?
On a enquêté là-dessus |

A— dans tout le Canada.

La plupart des Canadiens S'imaginent

que des Compagnies
comme l'Imperial Oil

réalisent un profit de 29+
pat dollar de revenu.

En général,on admettrait

aisément un profit
deux fois moindre...
Soit exactement 1544 par dollar

de revenu. En 1958, lImperial Oil a réalisé
un profit de moins de 8+..

soit moins du tiers du profit
que lui attribuent
la plupart des gens.

\

IMPERIAL OIL LIMITED

VIH DEC
MCMLHI

CD

ile éries de tim-
br Vatican viennent
d'être émises, La première com
mémore la canonisation de Pie

X, (photo du
tre pon-
qui

porte

fa me

lement

Sintaluta

commencent
post

és vacances cet-
de semaine au

c'est pourquoi vous €

te fin

drez

autre voix s
quelques >
n'est pa
vous AI
tions de J. Pap
service de CF
| ne année,

En effet, Jean Papen a con
menceé so! \ a notre poste
au début de la semaine et il de-

1

!

M. l'abbé Léon Savoie, curé
Woise et M. Marcel F1
de Sintaluta, sont allés à
velbourg, les 13 et 14 juin, pour
assister à la convention de Radio
Gravelbourg

M. et Mme Y Legal, de La
Alma, sont venus passer deux
jours de congé chez M, et Mme
Marcel Français ;

M. Armand Fortin est allé à|
Régina, en fin de semaine, visiter
son jeune ami, M. A. Gaetz

M. et Mme Jean Français et

eurs enfants, de Lac

Marguerite,

sont venus visiter u parents
lé dimanche 13 juin

M. Raymond Oudot, du R.A.C.
est venu visiter ses parents, M,
et Mme Noël Oudot. et assister
au mariage de sa soeur, Yvonne,

M. Léon Fortin a eu la visite
de son ami, M. Peter Stopyler,
du collège Campion de Régina.

M. et Mme Paul Français sont
allés à Wolsele V il
et beau-frère, M. € i
ce Hébert,

M. et Mme Marcel Français,
| Mme Henri Oudot, M. Noël Ou: |

| dot et M. et Mme Tom Earnshaw

sont allés à Indian Head, le 7
juin, assister au service funèbre
et à l'enterrement de Mme Peter
Devotth, de Lac Marguerite,

Solennité mariale

à Willow-Bunch

WILLOW-BUNCH Comme

a clôture du mois de Marie n'a-
vait pu avoir lieu le lundi 31
ma cause des Quarante Heu-
1 ine cérémonie mariale eut
6 juin, jour de la Pentecôte.

Procession
Ja procession se forma à 7 30

Après la croix venait chaque clas-
e groupée autour d'une oriflam-
puis les croisés en costume
es enfants de choeur et le
drapé de de blanc

me
char

ou tro-

bieu et

nait la statue la sainte Vierge
entourée d'anges vi its qui te-
naient deux ds chapelets bleu
et rose. De le char venait
e «lergé puis une belle assistan
ce de dame que de mes-
eurs qui fe la marche,
Retour
La procession longea la rue
ncipale du age et dut reve-
nir par le même min à cause
de la boue. Dui ce temps, la

récitation du chapelet et le chan
des cantiques élevéèrent les voix
et les coeurs rs notre céleste

Mere. Apres étre entrés dans

glise, les enfants offrirent une
couronne qui fut déposée sur le
fro de Notre-Dame par Mlle
3erthe Lapointe, une e
du XIle grade qui lut
acte de consécratior
Ferland
M abbé Adrié Chabot, d
Vanguard ta ses parent a
ma L 1€ ere
? Beaud ie Nex
CB étudiant en
U t d'Ottawa,
alu a grand-mé
I Fou C et s
les e
| Beat est au
tourt 16 po
acanc
I, Mar B é à
Winnipeg pou 8
MM. et Mme M t
Edmond 1 )a pi
] La 1e, Alta, où
t t d parents et assis t
aux fête 1 ‘den ar -
de la pa
Mile Moniqu Masse a e-
pour a

in traitement rapide peuvent s
| vent amener ja guerison

meurera avec nous ant les va-
cances des employés qui partiront
à tour de rôle, Jean Papen a com-
mencé ses études en Belgique au

| cours de la guerre et il les a con-

tinuées en Saskatchewan et au
collège St-Jean d'Edmonton. Bien-
venue Jean, et bon succès!

Pelerinage de Wakaw
Dimanche dernier, nous avons
diffusé les cérémonies du péleri-
nage à Ste-Thérèse de l'Enfant-
Jésus, directem de Wakaw.
Cette émission a aussi été diffu-

ent

Mariage Bouffard-Desharnais

C'etait à prévoir , . . et c'est
arrive!

Notre dernière
mentionnait pas
ments les plus brillants qui
soient, et qui touche de près
CFRG. Il s'agit d'un mariage de-
puis longtemps prévu . et aui
a ete contracte en beau temps
pluvieux.

Les victimes:

chronique ne
un des évene-

Madelrine Des-
harnais, de Ponteix, assistante-
garde-malade à l'hôpital St-Jo-
seph de Gravelbourg, et gardien-
ne infatigable d'Arthur, d'une

Chronique de CFNS

1170 Kilocycies

e CFNS, | velbourg

Chronique de CFRG

1230 Kilocycles

nat Arthur Bouffard, oper
teur emerite de CFRG depuis
l'ouverture du poste, annonceur
brillant à la voix imposante, et |
diplôme en mari-cologie, d'autre
part

Nos deux amis se sont ma
riés le 8 juin dernier, La ca-

drale de Gravelbourg, où la

émonie a eu lieu, comptait en
jour un groupe important d'a-
mis, de parents et de curieux,

Le
ce

venus accueillir les nouveaux
époux, et les féliciter du choix
qu'ils avaient fait de la vie à
deux.

A Arthur et Madeleine, nos
meilleurs souhaits de vie heureu-
se et fructueuse ,,,. et à Arthur,
pour employer les paroles de M.
le gérant: ‘Espérons que tu de-
meureras encore très longtemps
parmi nous, ici à CFRG',

C'est le voeu de tous les mem-
bres du personnel du poste, qui
veulent exprimer à Arthur leur
appréciation pour ses bons ser-
vices a CFRG.

Remaniements dans le
personnel de CFRG

Occasionné d'abord par le dé-
part, en voyage de noces, de no-
tre opérateur Arthur Bouffard,
le remaniement du personnel de
CFRG s'est fait pressant, D'au-
tant plus que le 11 juin, quatre
jours à peine après les noces,
c'était Jeanne qui faisait ses a-
dieux à CFRG. Jeanne Liboiron,
de Ponteix, est arrivée à CFRG
il y a un peu plus d'un an, soit
avril 1953. Dès son arrivée,

| elle avait pris à charge la rédac-

tion au département commercial.
Quelques mois après son arrivée,
elle devait remplacer temporai-
rement Madeleine Plouffe, par-
tie en vacances, et par conse-
quent, empieétait dans les depar-
tements du trafic, de l'horaire et
autres.

Madeleine revint pour quel-
ques mois . ..et à son départ de-
finitif pour son chez soi à North

see

pa:

Wakaw, L nposee
Ernest annor

Ernest
cérén
de la elig
catholiques du
chewan.

oni : lait rt
1se de tous les
ord de la Saskat-

vie

religie

Radio-Canada

Nous tenons à signaler qu

ques émissions de be
que nous vous presento c

à Radio-Can
9 h. (1

semaine,
Le lundi
male),
marc

grace
a

concert int

oir à 9 h.,

soir,

at

tern
ct

e

e hebdomada e mer-
credi soir, à 9 h, l'orchest de
Radio-Canada à Tor et le
vendredi soir, à 9 h concé
promenade, mettant en vede
différents orchestres d'Angleter-|
re. Nous vous invitons à écouter

chaque semaine ces programmes
qui présentent les oeuvres les plus
célèbres des compositeurs de tou-
tes les parties du monde

le

9

avril
main

Bay, Ont.

dernier,
Jeanne reprit ei t

l'effe

du département commercial et
du trafic. Jeanne est ma nant |
partie à son tour ... et Jeannine
Fournier, jusqu'ici secrétaire et
réceptionniste, prend en mains
J! . pe, # + 1 ar
l'horaire, Entre-temps, le dépar-
tement commercial est tombé

dans les mains de Benoit de Mar-
gerie, et les deux ensemble, Jean-
nine et Benoît, complètent main-
tenant le cercle commercial-traæ
fic.

Lundi matin cependant nous
amenait du secours, pour la pé-
riode des vacances, dans la per-
sonne de Paul Piché, étudiant en
médecine à l'Université Laval

de Quebec, qui prend en mains]
commer- |

une partie du travail

cial. Bienvenue à Paul; nous es-|

pérons qu'il se plaira, une fois
de plus, à travailler au poste, et !
que ses vacances ne seront pas,
pour si peu, eécourtées.

Autres changements occasion-
nés par les vacances et les dé-
parts: Guy Pariseau, annonceur-
chef, et Ernest Pellerin, opéra-
teur en chef, se divisent une par-

tie du travail d'Arthur Bouffard, |

avec le secours de Benoît de
Margerie et de Marc Rioux. Marc

| a dü accepter le surcroît de tra-

. ment à la rédaction des bulletins |

vail malgré sa journée déjà fort
chargée, et ses nuits nombreu-
ses sans sommeil. Benoït, pour

sa part, continue toujours son
travail au Coin des tout-petits, au
département commercial, et,

maintenant, au contrôle en rem-
placement d'Arthur.

Paul Piché travaillera egale-
de nouvelles de l'après-midi,
tous les jours, en plus de son
travail au departement commer-
cial.

Assemblee pleniere

de Radio-Gravelbourg Ltee

Au moment d'écrire ces lignes,
s'ouvre, à Gravelbourg, l'assem-
blee plénière de Radio-Gravel-
bourg pour 1954. Il est peut-être
un peu tôt pour dire si oui ou
non la réunion sera un succès,
mais tout semble indiquer qu'el-
le le sera, Aussi, sommes-nous
loin de désespérer de la situa-
tion alarmante qui englobe nos
postes de la Saskatchewan dans
le moment. Pour l'instant, cepen-
dant, il est impossible d'appor-
ter plus de précisions à cette
chronique et nous vous invitons
à lire, la semaine prochaine, à
la chronique de CFRG, un comp-
te rendu des discussions de l’as-
semblée plénière de Radio-Gra-
velbourg Limitee,

Mariage Beauchesne-Dunand célébré
en l'église de Val Marie le 3 juin

VAL MARIE -- Le jeudi 3 juin,
Mi Paul Beauchesne, fils de M. et

Mme Octave Beauchesne, de Ze- |

non Park, unissait sa destinée à
celle de Mlle Marie-Jeanne Du-
nand, fille de M. et Mme Antoine-
Marie Dunand, de Val Marie, Les

témoins f 1t es parents res-
pe des riés, M. le curé cé-
lébra la messe nuptiale à 9 h,., as-

enfants de choeur sui-

té des
n Gérard Pinel, Gérard Sin-

ce Edouard Legault, Gerry
Trottier, André Legault et Ro-

nald Desharnais
L'église était ornée de ses plus
parures. Pendant la mes-
choeur de chant rendit de
que cantiques et motets
‘Ave Maria” et le ‘Panis

licus

M. Guy Dunand était garçon

manches
haut, Une cou-
guet retenait son Voi-
Comme bijou, elle

ave

*“oliet

ait boucles d'oreilles en
raude, cadeaux du marié

et Mme Paul Beauchesne

“ partis résider à Edmonton,

Va-et-vient
er « ses
semaine
de

t rendu
dern'ere
a Federal

ä

nventior

ne Emile Carlier sont

en voyage en Be:gique,

me Laurent

et
aes

Dumont
te chez

son
pa-

1
de
Jur-

né de

M. Stanisilaus. Clément etait €

age à Régina pour affaires
mard

I nbre de Cheva

rs e sont rendus:
au pélerinage à Ponteix, diman-
he d ier.

M. et Mme Jules Pin ainsi
que M. et Mme Pierre Pinel et

leur fille, de Moose Jaw, étaient
en visite pour une couple de jours
chez leur mère, Mme Euclide Du-
mont,

M. Raymond Brisson,
couver, C.B.

de Van-
risita des amis ici.

M. et Mme Gustave Demonti-
gny et famille, de
Mont., étaient de passage chez M.
et Mme Mike Heisier, la semaine
dernière.

Wolseley ;

Thé annuel
Le samedi 12 juin, les dames de

Ste-Anne tinrent leur thé annuel |

Whitewater, |

Winnipeg, le 19 juin 1954

HADIO GRHAVELBOURG

1230 Kilocycies

ven.)
ie mon moul
mr ) R-Le

{| 830R-La t
8.51R-Radio
prév

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RS

5.00T-( Lun
Les
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Du lundi ou vendredi

é Legende LME-Revyu …_«t
—Loca . cttres
R—Radio-Canada NWE-{ ert np
de la BE
MERCREDI
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T WR-Péle.Méle
RSOUE-Histoires extra
WE-Boite à chansons
WE. es
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JEUDI
LL JUR- Péte-Mêle
WR-Radio a 8.30E c 6 > _
RS de 9QE-Theâtre de R.-C
Ti ee: MA VENDREDI
| 330R-I ‘es 115R-Controntation
400R-Match 1 Recita x
430R-Mus. de « 800E-Nouv. dramatt
5.00R-Operettes 830E-Va és de ‘
600R-Contes de 1 200E-Concert prom
pays
6.HR-Terre ante SAMEDI

6.35L-Ouve

ire

inclusivement nee
6.55L-Ouverture m des as
100L-Requétes et ref 600L-Angé ire de l'opéra
7 -Radio S.-C 602L-Ca es et
' 1 a 6.10L-N ha s
6.15L-G r 45R-Pot-pour
UR-Ra na
6.45L.-Le It Nos 1lades
100R-Ra 1-1 ta
10001.-Fin des émissions R we np
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P
LUNDI 00L-L4
mis 0L.-Les
10.008 « 115R-Récital de R.- + #
ST 7 8.00E-Féête au village : a +. ei
10 28L.-Intermè F 8.30E- r de chant 8181 À
10 301 . sort s 9.00E-Concert internat û sn
04$R-Quart d'heure de 1. 00L-R et
— a toute tmardi et MARDI 1.30E-Trois de Québec
jeudi) L-Au son 7115R-Les affaires de 00E-Concert intime
des castagnettes l'Etat ox 2 Mag. des sports
(lun, 1ner., ven.) 1.30R-Récital 9 00E rée à Québec
|1100R-Face à la vie | 800E-Chronique des 9.30L >ot-pourri mus.
| 11.15R-Maman Jeaï Pasquiers 10.00L-Fin des emissions
go ———————————— LEE
o P S-NOHRD
4
HADI HAIRIES-,
1170 Kilocycies
800—Petit concert de | 550—Rapport des routes
DIMANCHE uébec 5.55—Intermède
9.55—-Ouverture 830—Trio lyrique 600—Sur les boulevards
| 10.00—Causerie 900—Theatre de R.-( parisiens
10.15—Radio-journal 1000—Nouwelles et tin 630—-Serénade au
1020--Intermède des en ons d p ule
10,30—Concert pop pa 100—Radio-journal
11.30--Claves et
à
| Maracas Du lundi au vendredi
[#0 Ge la musique inclusivement VENDREDI
| 1 DH | a pts (Heure normale) 6.00--Prog. allemand
l'AS OMIS sovulitre 7.00—Radio-Journal 1.15—Controntation
| 215—Orgue populair ! 4 : pr d'en
2.30—Prog. ukrainien 7 10—Pric re du matir Ti écital .
%00—Radio-journai 1.15—Bonjour 8.00— Nouveautes dia
305—intermede compatriotes! 8.30— Variétés de Qui
3 5—Fantaisie 7145—Beaux jours (Lun 9.00—Concert
3.30—Les plus beaux mer. vendredi) promenade
ù disques 8.05—Bonjour, 10.00--Nouvelles et fin
400—Match intercité compatriotes! des émissions
4.30—Refrains de 8.30—Chantez en
France Lo r d SAMEDI
5.00—Operettes 9.00—Musique à 3 temps à
LUE tes de mon 915—Rue principale 1.00—Radio-Journal
pays 9.30—-Amérique latine 710—Prière du matin
6.30—La ter re qui 10,00—Quelles nouvelles? 7.15—Bonjour
chante 10.15—Radio-journal compatriotes!
7.00—Radio-journal FAN Dee
715—Chron. de France Û s DA trIote hi
7.30—Petites symphon Li € ë
8 00— Musique A toi détente (mar. et 8.30-- Visite à la
8.30—La fin du jour jeu.) Chanson- ol OA
9.00—Previsions € nettes (lun, mer. 9.00—Les ondes
9.00—Previsions et fin Ven ere
11.00—Face à la vie 9.30—Réveil rural
LUN! 11.15—Maman Jeanne 10,00—Tante Lucille
1.15-Orc. Radio-Canada 11.30—Musique semi- 10.15—Radio-journal
8.00—Fête au village classique 10,25—Interméède
8.30—Tour de chant 11.45—Lettre à une 10.30— Album des as
9.00--Concert Canadienne 11.00—L'opéra
international! -Maria Chapdelaine 200—Rythmes et
10.00— Nouvelles et tin )—Réveil rural chansons
des emissions —L'orgue populaire 3.00— Radio-journal
1.45—Piano populaire 310—Intermede
MARDI 2.00—Aux malades 1,15—Fantaisie
715 7 215—Vies de femmes 3.30—Bienvenue
ST OLIS de l'Etat O0—Fémina (lun. et Saskatchewan
Lire Récita à mer.) - Etoile de 430—Les dix succes de
00—Chronique ” la chansonnette la semaine |
30 AAA “hat (mar. jeu, ven.) 5.00—Mus. continentale
FAURE Fe 245—Sur nos ondes 5.1 Nouvelle
” r 3.00—Radio-journal termede
Ares EN sy Cal 1 | 3,10—Intermede 5.30— chapelet
ou CUYaUSS 25: 3.15—Bienvenue 5.45-— Nouv. sportives
des émissions Saskatchewan 5.50—Rapport de
3.45—Un homme et son routes
MERCREDI péché 5.55—Intermede
400—Revue de 6.00—Radio-journal

1.15—Causerie À
l'actualité

6.05—Operette

71.30— Pêle-Mêle À te Tr ]
8.00— Histoires 4.15-— Métropole 6.30—Tout le monde
extraordinaires | 4.30—Lun., mer ven.: en place
3.30—Piano à 4 mains Collégiens en va- 7.00—Quelques vulses
| 900—Symphonie R.-C. cances Mardi et 705—Chansonnette et
1.0U—Nouveries et fin jeudi: Lettres de variété

730—Trio de

Quebec

J Q | mon moulin
GE AN | 445—Famille Ploufie 8.00—Concert intime
JEUDI | 500—Pour les bambins 8.30—Mag, des sports
| 5.15— Nouvelles 9.00—Soirée À Québec
7.15—Les cordes qui | 5.15—-Intermède 9.30—Diversité et
5.30—-Le chapelet merveilles du

chantent |
7.30—Pêle-Mêle 545—Nouv. sportives

monde

Henri Carignan, 13 ans, de Ponteix,
victime d'un accident de tracteur

PONTEIX — Le mardi soir 8 ,casion de
juin, le jeune Henri Carignan,
| âgé de 13 ans, fut victime d’un

| accident de tracteur à Ponteix.

Le jeune garçon laisse dans le
deuil, outre ses parents, M. et
Mme E. Carignan, 7 frères, le

R. Fr, Emile Carignan, O.M.I. de |
Lebret, Alcide, de Calgary, Mau- |
rice, d'Edmonton, Jean, Laurent, !
taymond et Louis, de Ponteix;
7 soeurs, Mmes Marcel Martin
(Rita) et Henri Ferland (Lucille),
| d'Edmonton, Denise, Suzanne, Gi-
sèle, Rolande et Hélène, de Pon

Clinique medicale

ce deuil, soit par of-

|frandes de messes ou de prières,
soit par assistance aux funérailles.

Robert-E, Gobeil, B. Com.
Comptable Agrée

321, 2lème rue est,
SASKATOON, SASK.

Dr E.-J. GAUDET

et dentaire

à l'hôtel de ville, Malgr maäu- ix,
vais chemins, ce fut un grand Les funérailles eurent lieu le, 60 - 12ème rue est
succès, rapportant la somme de | vendredi 11 juin, Le service funé- ; ; de |: med
$171.85 bre fut chanté par M, l'abbé G.! En af à 6 Lu 56108
Va-et-vient | Laprise, Servirent à la messe de À M
M. l'abhé I avoie et M. Paul | Requiem: Léo Gervais (cousin du Prince-Albert, Sask. - Téléphone 4202
Français assi ent à la conven- | défunt), Lionel Cyrenne, Maurice
; * ‘ P* É2. . 2» .
tion de Radio-Gravelbourg, à Gra-| Coulombe, Renald Bédard et Re- Pharmacie Duncan
velbourg, en qualité de délégués. | né Ca gi tous copains du jeu- de GS
M et Mme D RER TT mp ne Henri.
et Mme Léo Perras ailérent| "és porteurs étaient Léo Le-| PRINCE-ALSERT, SASK.
db ce: ; "| gault, Louis Lemay, Adrien Lal- PRESCRIPTIONS
à Moose Jaw. Fer "Paul T (uns Al Ce. sc
MM. Lionel et Raymond Lan- | ‘er: aul Tourigny, Alber R articles de pharmacie
glois sont de retour du collège! li8nan et René Levasseur. Ro- bonbons, papeterie, eîc.

de

Gravelbourg,

M. et Mme Emile Tourigny et
le sitérent M. et Mme P,
1 et Mlle Yolande Chabot,
a Régina

En fin de semaine, nous remar-

quions de passage: M. et Mme Gé-
Mme

eau

M. et Pow et

tou

rard Vallée,
Mile
Régina rents

M. Georges Dureauit, de Cal-
gary, et Mile Florence Bonnevil-
le, de Regina, en vacances
chez parents.

Auger, de Vancouver
éta visiter ses amis en reven
de chez ses enfants Manit
et des funérailles de son fi
a Régina.

M. et Mme Jos. Mailache et
Léonard, de Broadview, étaient
s hôtes de M. et Mme Alphonse

sont
ieurs

Mme

Pitre, récemment

Mme Stanley Wrobe! et. Joan
allerent en fin de semaine à Win:-
nipeg.

Naissance
M. et Mme Jack Birane
garet Morange) sont les
parents d'une second fils, né à
Regina

(Mar-

ureux

ne

bert Gervais portait la croix.

Malgré la mauvaise températu
re, il y avait une très grande as-
sistance aux funérailles.

Remerciements
La famille E. Carignan desire
remerc tous ceux qui lui ont

témoign ympathie à l'oc-

de

Il est aes larmes qu'on ne vou-
drait pas reverser, mais qu'on
ne voudrait pas n'avoir pas ver-
sées. — A. BARRATIN.

Nouvelle adresse

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29 mai, M. le Dr J A. Mandin, | parole. Le tout se termir | glise de N
iont le mariage a lar-| chant de “Dieu sauve la ge, nr 0
en l'église Ste-Thé- u Souper - buffet Grave \
À 2 ute de la séances : +
de à éneers 1 é Gau ie }
« P pt uffe fut servi aux aaut ot bé ré de
el ; ; let à leurs parents dar 1 salle ‘ingt-cinq élèves finissants de l'Académie de la Présentation de Prince-Albert | Albert, Mary Ann Laplante, de Prince-Albert, Claire Marchildon, de Zenon Park, servait de main
M je RU Se te ss | du couvent, sous la présidence de reçurent, le dimanche 9 mai dernier, leurs diplômes et prix au cours d'une céré- | Constance Moon, de Prince-Albert, Frances Morrison, de Spruce Home, Annette Albert Gautl
of dre ne Ve pes Es M 1bbé L.-D. Daoust, procureur | Mmonie qui se déroula au théâtre Orpheum. Nous les voyons ci-dessus photographiés | Mrazek, de Prince-Albert, Carol Ouellette, de Prince-Albert, Florence Robinson, tille
: : diocésain, et de M, j'abbé M. De- à cette occasion. Ce sont: Lucille Boutin, de Domremy, Charlotte Clark, de Prince- | de Prince-Albert, Joyce Slonski, de Prince-Albert, Jean Strube, de Deer Ridge, | 5
Va-et-vient niset-Bernier, supérieur du \lbert, Alberta Dupuis, de Prince-Albert, Annette Gaudet, de Bellevue, Elizabeth | Shirley Currie, de Prince-Albert, Margaret Corrigal, de Prince-Albert, Norbert er bé Pat dv
M. et Mr René Rabut et leu ège Notre-Dame Haase, de Cars to ophe r Lake, Lorraine Kowalcyzk, de Prince-Albert, Helen Kawula, |! Mrazek, de Prince-Albert, Merton Mohr, de Prince-Albert, Frederick Lewko, de | 7% = *
fillette, de 1 emy, Mille Rosa — ER de Prince- Ab , Lois Lacharité, de Pr e-A] bert, Margaret La Faver, de Prince- | Prince-Albert, Thomas Ryan, de Prince- AI bert, et : William Vickell, de Sudbury, Ont. mais 1 Condrées
c | = snmeantatatéhes u manne Smpatante sai mais Pr. t \ariee, out ë
Cantal | z let Mile Jacques, de Gravelbourg.
| Ré ina | eption à ia saile pa-
va-et-vient M. n Poilièvre de Prud'homme, | g M. Pierre-F. Relland, de Nipawin, LS arans à
Mme P. Morissette, de LA F Visiteur distingué " ? | quelle # grand nombre de pa-
; nt en pror r le y rents et amis assistérent
iTg mt en promenade t dé sdé S k t | 31 abbé Roger Ducharme, v t ti d' di M If rt [Fe ae - i À
t Mmes Henri et Geor- es ece e à a5 a oon e mai à r français des écoles, était :es vic ime un incen le, à e 0 Mme Baron, mère du marié, et
I IC F etai j de passage parmi nous, le diman- | s ses enfants assistaient awwmariage.
E. Robiilard PRUD'HOM' KL : ndi 31}neau ean Hannotte; à 1 hôpital che 30 mai. Il nous fit un sermon| . NIPAWIN — Un accident tra- [avons des églises dans tous ce Mme Jos. Sauinier et son fils
| sont mal sételgi hôp tal St-| de udworth: Mme C.-M. L -CPAEC,| Gans lequel il exhortait les pa-|gique vient de ravir à la popula- | endroits Henri, de St-Boniface, M. et Mme
[à semaine Png Paul de S in des pion-| MM Amédé. Painchaud et Phi-|..; à continuer de travailler | tion française et catholique du Au temps de sa mort, M. Rel-| Jean Scantland, de Morinville, M
apprennent que M. ; UT e, M Joseph ippe Lafrenière, pour pansior de la paroisse n jord de la Saskatchewan un de land était marguillier Ce l’église! et Mme René Van Elliput, de
il ent se rétablit bien a- sue ne FE Va-et-vient Cp tic sd ee "NE CR ' les plus ard en|de Nipawin, membre du conseil | Montmartre, et M. et Mme Philia
} | ubi opération à ville de-| ; ar _ 7. cartes la pers M. Pierre-François | de la même ville et l'un des di-| Gauthier, de Michel, C.B., se sont
nier à acce pté in emploi | l'hôpital des Soe Grises, à Ré-|F \ | M.d Jeanneau est de retour Le dimanche 23 mai, les hom-|Re and qui a perdu la vie le! recteurs du ‘Grand Mouvement |tous rendu ir assister au ma-

M et Mme Ma Se lg î chanté! d'un voyage en Colombie Bri-| mes donnèrent une partie de car-| jeudi 20 mai, dans l'incendie de | Diocésain de Prince-Albert”, sous | riage et à la noce.
eurs deux petit | M. Lucien Berriauit à fait l'ac- mer-| tannique. tes. Durant cette soirée, il y eut! son garage, à Melfort, Sask. la direction de S, Exc. Mgr Léo Va-et-vient
en promenade récemm |quisition du magasin de M, A- D... "| M. et Mme Henri Marcotte et f tirage de la rafle, dont les prix| M. Relland était né à La Bou-| Blais. | M. Jos. Lalonde, de Nathal, CB,

; r | 1:1 - an : re agné ) > l + ra- * n t |
parents de ce dernier, | dr Wilcott, à Alida. Ce der Sin ACGÉL AU 12 re té ] enfants se sont rendus à Le % PTT M eu pes ra laie, en La Motte, France, en 1896. | Survivants l'était en visite chez son père, ses
Albert Lareau nier a pris possession de la fer- | Sn Ë aSSISLE| Yirden pour les funérailles de|@0, M. Paul Joubert, de Mont-|1]] arriva au Canada en 1904 avec il laisse dans le deuil son épou-|soeurs et ses beaux-parents,

M. et Mme Henri Goulet de me de M. Berriault, a + Mme Denise Henuset, soeur de marire; couveriure de lit, M.}ses parents qui vinrent s'établir se, ses cinq garçons: Pierre, de! Mme Claude Couture, de St-Bo-
Maillardville, C.B., sont arrivés le! MM. Louis Bertholet et Adrien (TE Et! Mme Marcotte | apr Re, de = t-|à Duck Lake, Sask. C'est là qu'il| Connell Creek, Louis, d’Elders-|niface, a passé quelque temps chez
mardi 8 juin en visite chez les! Wilcott ont fait un voyage d'af- Les porteurs furent six petits-| M.F -X. Loiselle est en 2: rome- te 7 Rénir, t . une | u-| fit ses études et de là qu'il sSen-|ley, François, de Carrot River,|ses parents, M. et Mme Edouard

rents de ce rt « t|faires à Régina, dernièrement La MN IT ARS UE DU | Le ses erifai is, de Régina; taies d'orcillers, ieorges et Paul, de Nipawin, et| Carignan, sr.
parents de cette dernière, M et du EE der te | fils du défunt, MM. André et Her-|nade chez ses enfants, MM. et} Mme W. Jacques, de Régina: che- HAE 2%, " à George: 4 t Paul, d ipawin, et| Carignan, ’

re . le 1 £ ; | une ne |
Mme Onésime April, et ses frères ; Pique-nique | vé Poilièvre, Robert, Joseph, Louis! Mmes Oneil et Adrien Loiselle. | jse d'hc M. Ed d'T à ar | une fille, Suzanne (Mme George | Mariage
et soeurs, M. et Mme Goulet re Notre pique-nique paroissial 2 Ma iris , md % pn, LOUI is 4 TE de Vibisiéds re de 7 0 die À MI Kay | Staffen), de Nipawin, et un frè- | Le 8 juin avait lieu dans la ca-
viennent d'une longue promenade| aura lieu les samedi et diman M Poilièvre | * dans le deuil visita sa soeur, Mme Emile Pré- F,| sie “ie Régi r de : re sa re, Louis, d'Eldersley, ainsi que | | thédrale de Gravelbourg le ma-
chez leurs fils et © belle fille, M.iche 26 et 27 juin. Il y aura des H Fr Drgfsrn que > be ve pe Mo die | Jean, de cena. Nous remer-| cinq petits-fils et onze petites-|riage de M. Arthur Bouffard avec
. , " - À ; son épouse et ses enfants: Joseph | fontaine |cions toutes les personnes qui ai- y ariti : ; me : +
et Mme Laurent Goulet, de To-|sports durant les après-midi et | filles. Aussi, sa disparition prend-| Mlle Madeleine Desharnais. Il y
PE Min te y Ar ARE | ge ter et Maria (Mme A. Jeanneau), de| M, et Mme Francois Normand | dèrent de quelques façon que ce l'aé 4a ne ' ' 2: | ms : 5 He
ronto, et d'autres endroits dé l'Est.| séances, le soir, préparées par FErA ù , ançois Norman : * elle la proportion d'un deuil pa-| eut réception chez les parents de
. s Fide t act bocaux | Prud'homme, Paul, de Léoville,| sont partis en voyage dans la!soit à la réalisation et au succès| | saisétel ’e : :
La mauvaise température a peu |n0S ac teurs et actrices locaux | Déodat et Raphaël, de Duncan nt parus el B rc te ce proie | | roissial et c'est toute la commu-|]a mariée, M. et Mme Arthur Des-
favorisé les travaux des champs Naissance “ $ 4 “ Uncan,| province de Québec. de ce projet. + | nauté qui présente à la famille | harnais, à Ponteix, dans l'après-
L < : 4 C.B., et Thérèse (Mme Vallée), 1° St ile Le dimanche 30 mai, pour la used he 04 | hi S, à IX, s
depuis le printemps et rares sont Félicitations à M. et Mme René| lé Damtétas | M. l'abbé M. Bonneville, de AAA PSE HSE à FPE s | éprouvée ses sincères condoléan- | midi,
fermiers qui ont fini leurs se- Lamperte à l'occasion de la nais-| DORE NE it" | St-Boniface, était en visite au! Seuxieme 10!s celle année, le Cu ces. CREER ER OURS | RSR
ee ee telle en ie d'üine AUS Après le service, la dépouille presbytère, récemment des jeunes donnait une partie de | | Funérailles
me ns aroiss le - ë 1 li rortelle fut tran rtée i oil. resDytere, 1 m1 . sg dr - CE ‘ | . s à wa
virons ‘ nr | mortelle fut transportée à Léovi M. l'abbé D. Roy est parti cartes. Nous remarquions que] Ses funérailles lieu À PARIS — S. E. le cardinal J,
! | Île où eut lieu l'enterrement. L: l'abbé D. Roy € parti, à! Passistanve ête Lreuse. Ÿ Ses funérailles ont eu lieu à 3 "
N lad kr bag Par! ” ‘ét it ot St-Bonifade pour la retraite an- : ec ie gs Areva 1e {9 h., le samedi 22 mai, en l'égli-| Saliège, archevêque de Toulouse,
Nos malades L ce Pe fl maison arko élail en charge |" À à nant encourager et supporter les| $ 1 1" re , 24 EN TT , “ls on de: «
é TU a à ac e etier des arrangement L nuelle des prêtres tfor les "4e * PP intné se St-Eugène de Nipawin, Le R,|4 déclaré que ‘la presse françai

Hospitalisés du 24 mai au 11 des arrangemen efforts des jeunes. Cette soirée |P. Clovis Lesage, P.SM. de gt:|se a tracé une zone de silence
juin à l'hôpital Notre-Dame: Naissance | Remerciements | Graduation des finissants nous offrit beaucoup de variété | Front HAT Be bsoute, Il étaitl autour de l'Eglise persécutée
Mme Philibert Marchil Dhs» ñ Ets pe dis + x L'on : hé # sd xd | Front, a chanté l'absoute, Il était | - f)

me Philibert Marchildon, Mme M. et Mme Jake Ridiger sont! Les familles Poilièvre et Jean- tel que: chant, comédie, encan | assisté comr liacre et sous-dia- | dans les pays du Kominform
Forbes Arnott, Colette Archer,|les heureux parents d’une petite | heau désirent remercier, par l'en- Le dimanche 30 mai avait lieu | chinois, rafle. Sous l'habile direc-| (to ion DU Duo DU) “La presse relate les crimes
Arthur Laforge, Mme Théo. Per-|fille née à l'hôpital de Ponteix.| {remise de La Liberté et le Pa-|la cérémonie de graduation de|tion du maitre de cérémonies, ce | de + j L à B: v'et1à RP. CV ‘les plus monstrueux avec une
reault, Ghislaine Turcotte, Mme| Parrain et marraine, M. et Mme | triote, tous les amis qui leur ont | Cinq nts de l'école du vil-|fut un réel succès. Espérons que | Vs Le + PSM de Tisdaie re | précision étonnante, déclare le
Amable St-Amand, Jos. Roy, Mme | Ft ed Métivie témoigné de la sympathie dans|lage: Miles Cécile Poilièvre, Ma-} dans l'avenir nous pourrons écou- | KP, J E Desmond PS. M. Eure | cardinal, mais c'est à peine qu'el-
Fernande Mercier, Giulio Righi, NT e deuil qui vient de les frapper. | rie Labelle, Arlene Willett et|ter et apprécier nos talents pa-| A PTT curé | le nous informe de la plus gran-
Edouard Leblanc, Aimé Hébert, M. Aristide Laverdière est allé| d , | Betty Sapotyk et M. André Poi-|roissiaux, tel que nous le cons-| # ee dE p HE. de | de persécution des chrétiens qui
Mme Eleanor Syrna, Robert Mar-| à Régina pour examens médicaux. Nos malades ! lièvre. Mile Thérèse Grimard, ins- | tations à cette soirée | rs T cr ’ g 8" loit jam existé. La presse res-
shall, Vincent Marchildon et Ma-| Son épouse et son garçon l'accom- Sont hos 1lisé l'hôpital St-|titutrice, agissait comme maitre M ÈER : by pv 4 R irigeait | |te indi ff rente devant le sang
rilyn Courteau pagnaient | Paul de Saskatoon: MM. A. Jean-! de cérémonies M. et Mme Le Nabat, après une | o PTE +4 id Vs : | répandu, lies arrestations en mas-
a —>——— absence de plus d' un an, sont de | | L'église € tait remplie à capa- se, les souffrances physiques et
RER DRE UE à SES: CERN Re on en op ph a à , nat ité d'une foule sy iaue . v
| retour parmi nous pour y demeu- | M. Pierre-François Relland | °!°° di a Pod ympathique Par- | morales qui frappent surtout les
re Nous leur souhaitons une [m1 laquelle on remarquait nom-| Chrétiens

cordiale bienvenue et espérons les! rôla dans l'armée canadienne |bre de personnalités civiles et|

| . rnlivciet : * are #
avoir parmi nous pendant de nom- | pendant la première grande guer- | religieuses Pour accommoder les |
s annees re. Il € pousa Ml'e Cornelia-Dora fidèles qui n'avaient pu trouver

pme seseemmmtnnss | Mdlfäir 19 00 hovernre 1920 place dans le temple, deux haut- N ff
. | Un peu plus tard, la famille | parleurs avaient été installés, l'un | ê sou rez pas
| Marcelin | venait s'établir comme pionniers | dans le soubassement de l’église, |

! à Eldersley, où elle prit un ‘“‘home-|1autre à l'exterieur ' t il t
Çà et là | stead”, puis à Carrot River où Les porteurs honoraires étaient inu Î emen
Mmes E. Goueffic et J. Walters | elle établit un commerce de bois. | MM. S. O. McMillan, de Saska- |
| ont sisté à la convention dio-| Depuis quelques années, M. Rel- | toon, Jean Bothorel, de CE 6 dont d |
césaine de la Ligue Féminine Ca- | and avait confié la direction de! E. Boutin, d'Eldersley, . Bru un jour @ p US
| Go que, laquelle eut lieu à Prin-| ces deux entreprises ses fils, | nelle, de Duck Lake, rw Smith,
| c eux entreprises à ils,| n6 € :
e-Albert les 2 et 3 juin. | Louis et. François. En 1946, il! d'Eldersley, et W. Pomeroy, de « mg Par suite de
Nous souhaitons la bienvenue à | vint établir son premier garage | Carrot River. Agissaient comme| maux de tête
notre nouveau barbier, M. Adrien | à Nipawin, suivi de celui de Mel- | porteurs actifs: MM. W. Foster troubles
Legars, de Saskatoon |fort, en 1951. Au temps de sa/|et le Dr J, McCullough, de Carrot d'est
La famille A. Lagimodière a!mort, M. Relland faisait sa de-|River, F. Floch, de ire Alec | , goes omac
| déménagé dans la maison occupée | meure à Nipawin | Baribeau, de Duck Lake, Vers- indigestion
| auparavant par la famille E. Ar-| Couple profondément chrétien, | traeten et J, Jardine, de Li 4 nervosité
Re M. et Mme Relland ont dû met-| Tous les enfants du défunt é perte de
M. Paul Philibert est à agran- | tre leur pleine confiance en Dieu |taient présents, ainsi que plu-| sommeil
dir a maison | pour subvenir aux besoins de|sieurs de ses vieux amis de Duck | manque
M. J. Charko a vendu sa maison | jeur famille et accepter les épreu-| Lake, Carrot River, Eldersley et q À
à M. W. Obchensky À |ves pénibles des premières an-| Tisdale d'appétit
M. M. Konjolka se bâtit une | M. Relland fut toujours trés Accompagné au cimetière de À flatuosité (gaz
maison au village, ur le lot voi- | dans tous les projets pour |Tisdale par un cortège d'une intestinaux)
Ê rer Fe | aui sin de chez M. E. Hamel. | icement de la vie religieuse, | soi itaine de voitures, la dé- HT) Pa F
pour prepa ja poussière 0 Sans frott Nos malades et matérielle de la com-|pouille de M. Relland fut inhu- |” causés par
“e d' / odbo tt M. / nunau isdale e dar ot familial , | AT :
le moyen nouveau et sûr d'enlever PL" saleté Tout se fait age! TJ B 2, db LR et M. À.| m unauté Les der es de 7 pas e, mes lan le ] Mais Le R. | une élimination paresseuse
e $ ée ts | os L | Carrot V y, NiF in, |} esmond ré a les »rniêr ,
(2 de la route, la peinture désagréæ Itra-douce Couche de C ans dur frotta al Galeschuk est revenu de | Coderre, Whit: Fox et autres! prières et bénit la fosse Prenez le Novoro du Docteur Pierre
grasse de ne couche de base u + n'avez p1, ar-Plate Sur | age Etalez Une Jégè e 10 juin, ma ne missions se rappelleront on£ I uison mortuñire “Shaw”,| ce soir et voyez par vous-même si
incrustée. Forme Uu l'éclat de sa couleur ! S'obtuen formé Plus qu'à ssuy ps aissez séc . sstre travailler pour quelque [temps d nn dévouement et de | de ile, était en charge des! vous ne vous sentez pas beaucoup
tout l'éc \leusement €. Voy er le fi x er. V ù son appui matériel, ainsi que de |f d mieux demain.
sant au fini rveilleu ?yez © n br * Vous Ë pui ma l, que funér dem j
pue s bidon de 16 onces: Prépare me trouve to t £ la ser lier Qui s’est ouhaitons à fous un Clairvoyants, C'est Remerciements | Cela tient à ce que le Novoro vient à
en gro oirla cire! Ti € votre aut rétablissement, grâce à lui que nou Mme P-F. R A ciao votre aide sous trois formes: (1) laxa.
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wa à Vancouver en 75 heures, 30 minutes, dans une “Zephyr'. Sauf
pour une panne de frein et une crevaison, le véhicule soutint l'é-
preuve merveilleusement bien. Ce voyage-éclair débuta le 10 mai et
s'effectua uniquement par voie canadienne. Les routes, disent-ils,
sont excellentes, et point n'est besoin de passer par les Etats-Unis
pour se diriger vers l'ouest

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St-Joseph. Départ de Montréal à | ———
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par autobus au Cap-de-la-Made-
leine

12-15 août — Cap-de-la-Made-
12 août: Journée du Mani-
toba; 13-14 août: Activités du con-
grès marial; 15 août: Jubilé d'or

Societe St-Jean-Baptiste
L'assemblée régulière du mois
de juin, qui devait avoir lieu di-
manche prochain, a été mise en |
suspens sur décision du comité

du couronnement. de regie. |
16 août — Départ de Trois-Ri- La prochaine assemblée de la |
vières à 10 h. 15 a.m. Arrivée à | sociéte aura lieu le troisième di-|

Québec et Ste-Anne de Beaupré. |
18 août —— Départ de Ste-Anne |
de Beaupré pour Québec. Tour-
née de la ville de Québec |
19 août — Tournée de l'ile d'Or-

manche de septembre, à mt

d'avis contraire.
LE SECRETAIRE. |

Trophée du tournoi annuel

Jéans À | Le tournoi annuel des écoles]
20 août — Départ de Québec à | catholiques du grand Winnipeg, |
1 h. 15 p.m. Arrivée à Montréal! sous jes auspices des Chevaliers

à 5 h. p.m.

Ici se termine le voyage crganisé
— il sera nécessaire pour chacun
de faire sa propre réservation de
lit pour le voyage du retour —
sur demande, le comité du pèle-
rinage s'en occupera,

de Colomb de Winnipeg, eut lieu
au parc Sargent le lundi après-
midi 14 juin. Nos élèves des gra-
|des VII et VIII y participaient.
| Les filles du grade VIII ont ga-|
gné le’ trophée des Chevaliers de |
| Colomb en obtenant 15 points.
| Elles concouraient avec les éco-
! les suivantes: Immaculée Concep-
tion, Holy Ghost, Ste-Anne, St-|
| Joseph. |

Résultats des activités:

Course de 60 verges: lère, Ar-|
mande Daoust, 5 points

Renseignements généraux

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Winnipeg à Québec, $64,75. On
accorde une limite de temps de|
trente jours pour le voyage de!
Winnipeg à Montréal et retour, et

une limite de seize jours pour les Course à relai: lères, Armande |

| voyages de Montréal à Trois-Ri- | Daoust, Marguerite Courchaine,
vières et de Trois-Rivières à Qué-| Thérèse Pelland, Yolande Roy,
bec et retour, Le comité du pé-!5 points. |
lerinage retient les billets qui se-| Lancer de balle: 2ème, Lucille
ront remis aux pèlerins à la gare | Villebrun, 3 points.

Saut en hauteur: 3ème, Arman-
de Daoust, 1 point,

Saut en longueur: 3ème,
guerite Courchaine, 1 point.

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ficiers pour le prochain terme

| Le Grand Chevalier, frère Geor-

se conformant au dé-
sir de l'assemblée, demeure en
fonction pour un second terme
L'expérience acquise pendant son
premier terme lui vaudra beau-
coup pour l'avenir. Le frère A.-H
Côte remplacera le frère E. Trot-
tier comme trésorier, Le frère
Trottier fera tout de même partie
de l'exécutif comme syndic.

Notre position est solide et
l'exécutif est de premier calibre
Malgré cela, l'idée déja énoncée
dans ces colonnes de voir la jeu-
nesse colombienne s'intéresser da-
vantage à devenir membres de
cet exécutif persiste toujours. Ce
sera peut-être pour l'an prochain.
En attendant, que les jeunes, y

ges Carroll,

pensent sérieusement et sy .
parent en assistant fidèlement aux
assemblées
Soirée du 24 juin

Le conférencier nous prépare
une soirée mixte pour le 24 pro-
chain. Musique, chant, rafraichis-
| sements et le tirage du fameux
téléviseur, ainsi que du radio ré-

veille-matin, Le grand public se-

ra admis, Qu'on se le dise et que
l'on vienne en foule célébrer
joyeusement la St-Jean-Baptiste
en nos salles. À jeudi prochain
donc.

Initiation

Une initiation conjointe des

conseils St-Boniface, Goulet et

Provencher est en marche. On!
parle du 27 juin. Ce nous semble
bien tôt car il y a encore beau-
coup à faire. Mais qui sait? Le|
temps des miracles n'est pas pas-
sé, Les intéressés seront avisés
par lettre du Grand Chevalier.
D'après le rapport du frère Cé-
té, le conseil semble assuré d'un|
campagne |
pour établir un fonds spéciale-
destiné aux dépenses de
l'information catholique. Les au-
tres conseils en feront-ils autant?
Ce ne sera pas une affaire an-|
nuelle, hein Jos.? |
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protection contre la polio |

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million de chapelets ont été pro-
mis à Notre-Dame de Fatima par
les femmes de la paroisse de Gua-
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lio, La maladie a fait des progrès

se et la radio ont fait une large
publicité à cette croisade et de-
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Si vous présentez ce coupon lorsque la photo est prise
(Pas d'obiection à ce qu'il y ait 2 personnes)

1 coupon seulement par personne

Pas de reproductions (copy) acceptées. Aucune entente ne sere
acceptée sinon celle qui est imprimée dans ce contrat

LYCEUM PHOTO STUDIO

; TELEPHONE 92-6042
Zème étage, édifice Srobart, 290, avenue Portage, Winnipeg, Man.

Bureau de service approuvé de “Bell & Howell”’

Vente et réparations

‘’Rien de changé si ce n'est le nom“

Le 31 mars dernier, BENOGRAPH, aprés sept ans con-
sacrés à la distribution d'appareils et d'accessoires ciné-
matographiques, a décidé de se retirer du domaine de
la vente
Conséquemment, depuis le ler avril 1954, tous les services accordés jus-
qu'ici par BENOGRAPH, soit ventes, réparations, conseils, locations, etc
sont continués par M. Michael KEPRON, qui fut gérant de BENOGRAPH
durant ses sept années d'opération.
Désormais, la nouvelle administration sera connue sous le nom de
KEPRON'S 8/16 mm, et sera toujours à la même adresse. À tous ceux
qui auront recours à nos services, nous assurons pieine satisfaction com-
me par le passé

L'on donnera volontiers tous les renseignements désirés au sujet des
appareils de projection à l'adresse suivante
’ /
KEPRON'S 8/16 MM
269, rue Edmonton Téléphone 92-5946 Winnipeg

200, ave Provencher CIME Z HUOT St-Boniface, Man. Ne manquez pas de vous rendre chez Huot

Tous les jours de la semaine, le magasin ferme à 6h. p.m.

et de choisir le vôtre au plus tôt